11 de nos licencié(e)s participaient au marathon reliant NICE à CANNES en ce dimanche 13 novembre 2016 ! Mais commençons par le début !
Après leur entraînement individuel de préparation à cette distance, les coureurs avaient rendez-vous devant chez Ricou pour un départ le samedi 12/11/2016 à 08h00.
La logistique est prête, le bus est présent. Les arrivées des coureurs, coureuses et accompagnateurs/trices se font au compte-gouttes. Le départ est prévu à 08h00. Tout le monde est à l’heure et le bus prend la direction de LA SALVETAT chercher les dernières licenciées et leurs accompagnants pour aller vers NICE. Partir à l’heure ? Serait-ce un signe ?
LA SALVETAT : Marie, Maria, Françis et Jean-Jacques sont embarqués dans le bus, et notre chauffeur Georges prend la route vers la côte d’Azur.
L’ambiance est bonne… Rien de neuf sur ce point. Le président, Ricou, explique le programme de la journée et même du week-end. Le seul hic sera les vidéos préprogrammées par notre président qui ne fonctionnent pas avec le lecteur de notre beau moyen de transport. Ce sera le seul «hic » de ce week-end avec le non-fonctionnement des WC du bus
Arrêt sur le bord de l’autoroute pour une pause repas. Tout est prévu pour nos coureurs. Pâtes, jambons blancs, mais chacun mange ce qu’il veut. Ça rigole, çà chambre, c’est super ! Et hop, le bus repart et maintenant chacun s’occupe à sa façon. Belote pour certains, films, discussions en tous genres et sieste pour les derniers.
Pour la petite histoire, Manu aura pris les meilleures raclées à la belote. Même si c’est lui qui écrit ce mini «reportage», il a tenu à le dire.
Arrivée sur les bords de la mer méditerranée, nous voyons la sortie CANNES, puis CAGNES SUR MER, où le marathon passera le lendemain. Et voilà le bus qui entre dans NICE. L’arrivée du voyage est proche.
Arrêt à quelques pas de l’hôtel, nos licenciés prennent leurs affaires et après une petite marche, l’hôtel LE FLORENCE est là. Chacun récupère sa carte magnétique de leur chambre. 15 mn après le président attend tout le monde en bas pour aller récupérer les dossards. Du coup, tout est déposé en chambre rapidement. Le problème pour certain(e)s sera « comment allume t-on la lumière ?». Nous ne donnerons pas de noms sur ce point.
Tout le monde est au pied de l’hôtel à l’heure. Seul le président s’est absenté cherchant à pouvoir enregistrer ses vidéos sur un DVD. Et bien même à NICE, c’est peine perdue. Et voilà notre troupe qui récupère Tatiana et Silvère qui sont venus par leurs propres moyens.
Allez, maintenant direction le village départ pour récupérer les dossards. Nous sommes à 10 mn à pied de cet endroit et cela fait en plus une petite visite de NICE. Superbe. Le voilà ! Le village départ ! Après une fouille et passage sous les détecteurs de métaux etc… le premier passage se fait devant « le mur des coureurs ». Chaque coureur a son nom d’inscrit dans l’ordre alphabétique avec ceux des stars de ce marathon. C’est une super idée qui est appréciée par chacun des marathoniens de NICE en herbe.
Puis le stand suivant est celui des dossards. Cela va vite. L’enveloppe avec le dossard et un premier cadeau : un sac à dos aux couleurs de la compétition.
Nous effectuons enfin la visite du village départ. Des dizaines de stands, tous dédiés au running ou presque. Des chaussures, des courses, des gels, des posters, de la lessive pour les maillots techniques, casquettes, porte-bidons, etc… C’est Noël avant l’heure dans les yeux de nos lacaunais !
Photos et discussions entre coureurs ! L’ambiance est toujours au top !!!
Pas de passage à NICE sans aller sur la promenade des anglais et surtout sans un recueillement anonyme au mémorial des victimes du 14 juillet 2016. Chacun le fera intérieurement et en silence. Un beau geste de l’ACL même s’il n’est qu’anonyme mais il était obligatoire.
Retour sur la PROM, comme disent les niçois. Petite photo souvenir et il faut aller poser les dossards et autres cadeaux de l’organisation dans les chambres. Dans 45 mn, il faudra aller manger. Pas de Pasta party à NICE, pour des raisons de sécurité évidente, alors Ricou a déjà prévu un repas à base de pâtes au restaurant… le QUEBEC. Pas trop italien comme nom de restaurant mais le repas est bon, copieux et tous/toutes sont repu(e)s à la fin du repas. Pour faire un point géographique : nous sommes à NICE, nous dormons au FLORENCE et nous mangeons au QUEBEC… Faut pas se perdre !
Un gros dodo attend tout le monde. Demain 42,195 km sont au programme de la matinée ! C’est l’objectif de nos licencié(e)s. La pression monte. Avant chaque course matinale, la nuit précédente laisse les coureurs sous un sommeil léger voir tardant à venir. Ce sera le cas pour certain(e)s.
Le petit-déjeuner est prévu à 05h00 et l’embarquement dans les navettes est prévu à 05h30 ! Cela fait tôt pour un dimanche mais entre tous les coureurs, 14 000 inscrits seront là pour ce marathon (entre ceux qui font la distance totale, les relais par semi-marathon et les relais à distances multiples) cela fait du monde.
05h00 les premiers sont là au petit-déjeuner ! Il y a tout dans le self de l’hôtel ! Il faut manger, ranger les affaires et les stocker dans les chambres des accompagnants qui vont les transporter dans le véhicule de Silvère qui les déposera à CANNES près du bus. Merci à eux !
05h30, tous nos engagé(e)és sont dans la navette ! Nice est dans le noir et un vent froid voir glacial est présent. Pourtant le thermomètre montre un 6 degrés mais le ressenti n’est pas le même. Nos inscrits sont « emballés » dans de beaux sacs poubelles noirs afin de garder de la chaleur…quand elle veut bien rester.
06h15 arrivée au bord du stade où le départ sera donné à 08h00. Alors le but est simple : trouver un endroit à l’abri du vent. A 07h00 nous aurons accès au sas de départ. Alors çà blague, çà danse pour se réchauffer ! Les derniers conseils sont donnés. La pression monte encore d’un cran. Restera plus que celle avant le départ.
07h00 : entrée dans les sas. Mais aucun coureur du club ne veut être séparé du reste de l’équipe. Alors nous sommes tous dans le sas des 3 heures 30. Hors de question de faire ce chrono. Seul Bastien sera dans le sas des 3h et Ricou dans celui où nous sommes ! Jean sera dans celui juste derrière les 3h45, et le reste de la troupe dans le 4h00.
L’animation d’avant course aide bien. Musique, danse, chants font réchauffer les runners du jour.
Les minutes défilent et le temps du départ s’approche. Les sacs poubelles sont déchirés, jetés au sol et le speaker annonce que dans 10 mn ce sera parti pour le marathon de NICE-CANNES.
Un mot est fait par le speaker pour ce souvenir des attentats de Paris du 13 novembre 2015 et bien entendu celui de Nice. Une marseillaise est alors chantée à cappella par tous les inscrits. Grosse émotion. Bastien récupère son Sas à quelques minutes du départ.
Maintenant l’attente de tous devient palpable. Il va falloir y aller. Les coureurs se rapprochent de la ligne de départ. Les SAS partiront par vague. Les élites et grands favoris sont partis. C’est chacun sont tour ! Un ban est fait par nos coureurs pour l’ACL. Les derniers conseils et la ligne se rapproche. Les montres sont prêtes à être déclenchées. Trois, deux, un mètre et çà y est. Chacun entend sa puce déclencher le chrono ! Plus que 42,195 km !
Manu fait quelques photos du départ et chacun prend son rythme. Il y a des coureurs partout ! Un mélange de couleurs venant des maillots de chacun, de celles des shorts, chaussures, casquettes. Un arc en ciel de couleurs ! Et chose bizarre, dès que le départ a été donné le vent s’est arrêté !
Le soleil est présent et la température monte un peu. La tension d’avant départ est tombée. La concentration est là. Il faut vite trouver son rythme, sa cadence, trouver ses sensations.
Difficile de trouver des têtes connues car comme vous pouvez le penser avec toute cette foule impossible de se retrouver entre coureur de l’ACL si vous n’êtes pas à côté l’un de l’autre.
Passage dans NICE. Après quelques kilomètres, le marathon passe en bord de mer. Changement complet de paysage par rapport à celui des lieux d’entraînements de nos lacaunais. Suite aux attentats du 14 juillet, il n’y aura pas de passage et surtout le départ de la promenade des anglais. Là encore logique et respectueux de la part des organisateurs.
Puis c’est un petit parcours dans SAINT LAURENT DU VAR. Visite de beaux quartiers de l’agglomération. Et la première côte de la journée. Contrairement aux idées reçues, et même du graphique de l’organisation, cette épreuve n’est pas plate. Pas du tout même. Bon ok, c’est pas un trail mais pour un marathon c’est pas courant.
Les ravitaillements sont bien entendu prévus, fournis et manquant de rien. Les bénévoles présents sont efficaces, souriants, ayant un mot gentil pour chacun. Cela aussi est génial. Et ce sera le cas sur chacun des lieux de ravitaillement.
Et le long de la méditerranée, les coureurs courent 4 km en ayant cette étendue bleue sur leur gauche. Hop nouvelle photo !
Passage à CAGNES SUR MER. Le parcours longe le port et ceux et celles qui lèvent la tête à cet endroit la vue est magnifique. Manu aura encore le temps de faire quelques photos.
VILLENEUVE LOUBET verra les coureurs se croiser trois fois. Un grand zig-zag de deux lignes droites coupées en 4. On se croise et se recroise. L’ACL s’encourage à chaque fois que les coureurs se voient ! On vient de passer le 12ème kilomètre. Déjà !
Tout le reste du parcours se fera maintenant sur le bord de mer. Quel spectacle ! Le soleil est bien présent et la température idéale pour courir.
Une énorme ligne droite de 7 km attend nos coureurs. Mais aucun ne fléchit. Maria commencera a avoir quelques problèmes gastriques à cet endroit. Hubert n’est pas au mieux mais cela court et cela tient.
Le 21,1ème km : passage du semi-marathon ! La moitié de la distance est avalée. A ce moment de la course, les seuls à avoir quelques soucis sont Maria et Hubert. Mais ils tiennent. Pas d’abandon prévu. Ils sont forts et motivés !
Le passage dans ANTIBES est là encore magnifique. Le passage sur la corniche est vraiment sublime. Et que dire de la foule présente sur le bord de la route depuis le départ. Cela encourage, çà crie, çà applaudit. Tout est fait pour motiver chacun des participants.
C’est maintenant le passage, entre le 26ème et le 32ème kilomètre, dans la «péninsule» entre ANTIBES et maintenant il faut prendre direction GOLFE-JUAN.
28ème km : Grosse côte dans cette commune. Un joli panneau annonce un «MUR». Grande et grosse côte qui fait mal avant même le passage du MUR des 30 kilomètres.
Le fameux mur des 30km ! Celui qui fait que certains coureurs qui se sentaient bien ont d’un seul coup plus de jus. Les jambes continuent comme elles peuvent mais le cerveau n’est plus là. C’est que les coureurs appellent le mur. Voilà pour la petite explication. Nos coureurs n’auront aucun soucis. La préparation a été bonne.
Un point de course par coureur au 30ème dans l’ordre de passage : Bastien court vite avec un passage en 2h13 au 30ème soit du 13,5 km/h de moyenne ! Ricou est dans les chronos prévus 2h28. Jean, dit « Jeannot », est sur le plan prévu 2h38. Manu dans le temps prévu aussi 2h44, Virginie 2h51 dans les temps, Tatiana 2h55, Sonia/Yolande et Marie passent 3h03, Hubert est en 03h05, Maria passe en 3h09.
Maintenant nous sommes dans la partie la plus dure de la course. Pas sur le dénivelé mais au point de vue physique. Cela fait un moment déjà que le départ a eu lieu et les kilomètres se sont enchaînés !
Mais cela sent la fin ! La foule est toujours là et de plus en plus compacte. Pas possible de passer inaperçu. Chacun est encouragé ! Le public lit les prénoms des coureurs et chacun reçoit sa part du «pactole» de l’épreuve ! Énormes sensations !
SUPER CANNES est dépassé ! Chacun va terminer sur ses ressources !
Et c’est enfin l’entrée dans CANNES. La baie des Anges est là, plus qu’à aller en direction de l’arche d’arrivée.
35ème kilomètre, trois de nos accompagnants viennent encourager nos coureurs ! Que c’est bon ! Sourire, on se tape dans les mains. Du bonheur que les coureurs apprécient surtout à ce moment de la course.
42ème kilomètre c’est au tour des derniers accompagnants d’encourager les licencié(e)s de l’ACL !
Et enfin le passage de la ligne d’arrivée pour être FINISHER ! Et ils le seront tous nos coureurs !
Les chronos sont les suivants :
Bastien 3h30mn14sec
Ricou 3h37mn56sec
Jean 3h55mn08sec
Manu 3h58mn37 se
Virginie 4h05mn38sec
Tatiana 4h15mn11sec
Yolande 4h18mn45sec
Sonia 4h18mn24sec
Marie 4h26mn21
Maria 4h39mn10sec
Hubert 4h45mn24sec
Accolades entre coureurs de l’ACL ! Photos, ressentis, commentaires sur la course de chacun, émotionssssss. Oh oui que d’émotions vivent les marathoniens. Pas de mot pour le traduire et le faire vivre aux autres mais c’est que du bonheur après la ligne franchie !
Chacun reçoit sa médaille du marathon de NICE et son maillot de FINISHER de ce même marathon !
Maintenant retour vers LACAUNE. Mais non pas tout de suite ! Photo avec une grande star de l’athlétisme français. Monsieur DIAGANA ! Champion du monde, d’Europe et de France du 400m haie ! D’une gentillesse énorme, il dira même que les stars aujourd’hui ce sont nos finishers. Respect champion.
Et direction le bus ! Mais avant nous passons devant le palais des festivals de CANNES. Photos sur les marches :
Arrivée dans le bus, sortie difficile de CANNES mais d’être assis permet à tous d’être en phase de récupération ! Nettoyage rapide de chacun et maintenant on s’asseoit. On regarde, on scrute… j’oserais dire on « mâte » cette médaille ! Réseaux sociaux, famille, ami(e)s, connaissances, etc… les téléphones portables sonnent à tout va ! La rançon de la gloire !
Puis le calme se fait. Il est venu le temps de panser les plaies ou les petits bobos. Maria, romantique jusqu’au bout des ongles, arrive même à avoir une ampoule en forme de cœur. C’est ce qui s’appelle être perfectionniste ???
Discours de notre président remerciant chacun de sa performance, de son implication, de son aide (Silvère en particulier pour les bagages) et les accompagnants pour le transport des bagages et leurs encouragements. Le bus remerciera Ricou pour ce week-end sans erreur. Moments magiques !
Chacun essaye de récupérer de la meilleure de manière. Puis le silence se fait. La course, le lever aux aurores et même avant, font que tous sont fatigués. Heureusement que Georges notre chauffeur n’est pas dans cet état là !
Pause repas sur le bord de l’autoroute ! Puis dernier départ avant l’arrivée au point de notre départ de la veille.
Moment de convivialité : les finishers de leur premier marathon ont offert le champagne à tout le monde (sauf Georges, bien entendu !).
Manu aura le temps de reperdre à la belote avant que chacun puisse se reposer encore un peu.
Un week-end super ! Une course géniale ! Une énorme ambiance que cela soit sur la route et dans le groupe ! Une expérience sportive et humaine tout simplement.
Bravo à tous et toutes pour vos efforts en préparation de votre plan d’entraînement, pour votre course, et bienvenue dans le club des marathoniens du monde ! FINISHER !
Manu
yolande
Nov 14, 2016 @ 20:40:26
je ne suis pas encore descendue de mon petit nuage!!! weekend super sur tous les plans (sauf les deux heures d’attente avant le départ du marathon), un grand merci à Ricou et Jeanot pour l’organisation, à toutes les personnes qui nous ont accompagnées, soutenues et encouragées, à Maria et Marie pour tous leurs précieux conseils, à Manu pour sa bonne humeur et sa plume, à Hubert et Sonia pour ces trois mois d’entrainements communs si efficace pendant le marathon… maintenant récupération, décrassage, et descente des escaliers à l’envers!!!!!!
Bossuc
Nov 15, 2016 @ 22:11:45
Mais vous êtes top les Lacaunais : 100 % à l’arrivée sur la Croisette, comme il sied à des stars. Pourrai-je avoir une photo dédicacée… Et en plus vous avez enfin trouvé un champion, un autre, un vrai : carrément champion d’Europe du 400 m haies si je ne m’abuse. Bon maintenant, si vous voulez tenter une autre expérience sur la distance, patience et proximité : en avril 2018, 40ème édition du marathon d’Albi. C’est plat, et l’objectif est à 4 heures pour les vieux et vieilles, 3 heures pour les jeunes. Obligatoire, sous peine d’être licenciés. Ah bon, vous l’êtes déjà ?
Note : Attention aux torticolis en descendant les escaliers à l’envers…
Gil Marie
Nov 16, 2016 @ 14:12:37
Je dis merci à Ricou pour ce week end super bien organisé,aux lacaunais,aux lacaunaises pour leur bonne humeur,merci Bastien d’avoir retrouvé ma culotte 🙂 sans lui je courais 42km cul nu 🙂 Merci à mon homme de toujours être à mes cotés ainsi que ma super cop’s et JJ
J’ai vécu ce Marathon avec beaucoup d’émotion pour des tas de raisons et c’est la premiere fois ou je n’ai pas pu retenir mes larmes merci manu de m’avoir prêter tes bras 😉
malgré la douleur, je savais que je ferais un autre marathon; j’èspère avec le club et oui Dédé pourquoi pas Albi….
Aujourdhui je descend mes escaliers normalement :)les petits bobos sont oubliés mais je suis comme yolande, je suis toujours sur mon petit nuage 🙂
Gil Marie
Nov 16, 2016 @ 14:13:11
Merci Manu pour ce PETIT résumé 😉
ricou
Nov 16, 2016 @ 15:16:29
Bravo et merci Manu pour cet excellent « résumé », je me suis vraiment régalé de te lire.
Quel week-end, je ne suis pas prêt de l’oublier, quelle ambiance!!
Félicitations à tous pour votre perf, chacun d’entre vous peut être fier car un marathon reste une épreuve qui exige énormément de sacrifice mais sans cela point d’artifice.
Merci à vous tous pour vos remerciements, ce fut un vrai plaisir que d’organiser une telle sortie. Je ne vous cache pas que intérieurement je n’en menais pas large car un imprévu peut vite foutre en l’air des mois et des mois de préparation. Je suis bien évidemment très heureux d’avoir partagé un tel événement et suis dors et déjà prêt à vous accueillir lors du prochain voyage de l’agence « Ricou Tours »
janot
Nov 16, 2016 @ 22:17:28
Quel bonheur d’avoir couru ce marathon avec vous tous & toutes, bonne ambiance et super organisation « RICOU-TOURS ». Je n’ai pas eu droit au mur du 30ème km…… mais plutôt la muraille!!!!. Après 2 mois d’entraînement intensif fallait pas abandonner si prés du but.
Je remercie tous ceux qui m’ont encouragé et surtout Marie-Claude qui était toujours là pour soigner la « Rascolade ».
Bravo à tous.
Finalement le seul à ne pas avoir de médaille c’est Stéphane D. le champion du « monde » du 400 m haies. Il faudra réviser tes fiches BOSSUC!!!!!.
Bossuc
Nov 17, 2016 @ 10:56:55
Champion du monde, peuchère ! En 1995 ? Et dire que son arrière-grand-père (Antoine Calas), on l’appelait ici « Cambo de bouès » (Jambe de bois), (mauvais) souvenir de la guerre de 14 qu’il traînera pendant une quinzaine d’années. Quelle belle revanche sur le destin ! Antoine Calas, il a habité toute sa vie (sauf entre 1914 et 1918…) à Lacombe (commune de Moulin-Mage), et comme le grand-père de Stéphane (Jean Daloux), il repose au cimetière de Cabannes. Quant à comparer Stéphane Diagana et son cousin, athlète des Vidals, hum, c’est un peu le jour et la nuit… même s’il arrive à ce dernier de signer des performances de bonne facture (normal pour un trésorier qui se dépense sans compter).
Manu
Nov 17, 2016 @ 11:00:09
Première chose : les photos officielles sont sur le site du marathon.
Deuxième chose : MERCI Ricou et Jean pour votre organisation !
Ensuite MERCI de votre soutien lors de mon pari de faire deux marathons en moins d’un mois.
Bravo à tous pour vos perfs !
Et Marie c’est avec plaisir !
Et pour ce qui est de l’article, merci des remerciements mais nous étions tous ensemble. C’était notre week end. Alors on L a écrit à plein de mains.
cyrille
Nov 18, 2016 @ 08:32:28
Quel bel esprit! conviviale, sportif, aucun abandon. Quand on connait les difficultés que l’on peut rencontrer sur ce genre d’épreuve, un tel résultat du club inspire le respect. Alors respect!!
malika
Nov 18, 2016 @ 13:32:34
et oui, autant de marathoniens dans le même club c’est rare !
bravo à toutes et tous !