EKIDEN D’ALBI

Cette année, une seule équipe représentera l’A.C.L  à l’Ekiden d’Albi. En voici la composition.

 

Yolande, Bastien, Sonia, Yohann, Marie et Fabien.

 

Rendez-vous le samedi 4 octobre, départ Place Sainte-cécile à 20h. Bonne course, soyez fort.

Lionel Gros, roi des Foulées

Lionel Gros, roi des Foulées

Lionel Gros a mis sa griffe sur les 16e Foulées. Enfin ! Car « le lion » – comme le surnomment tous ceux qui gambadent entre Brassac et le Caroux – a dépassé la douzaine de tentatives. Au micro de l’animateur Stéphane Tailhades, si de la course il est le roi, c’est pourtant le peuple qu’il encense : « Voyez, Murat est un petit pays. Avec quand même des atouts. Et si, comme aujourd’hui, chacun y met un peu du sien, on peut arriver à y faire de belles choses. » Puis, dans l’émotion, il rend hommage à son père Denis, à l’origine de cette course pour laquelle, à l’instar des autres vacanciers de Boissezon-de-Masviel, le fiston n’était alors qu’un jeune participant au modeste résultat.

C’est en famille que l’on vient, le deuxième dimanche de septembre aux Foulées : les frères Amalric ou Galaup, les Tournes, Taru, Gil, Santi. Parfois sur plusieurs générations comme les Miraoui, Meiler, Suc ou Dyjack. Parfois en laissant les plus jeunes courir les rondes des jacquets, ou les aînés participer aux Foulées bergères ou rejoindre les 27 randonneurs. Une ambiance que l’on retrouve ensuite en salle du Petit-Train. Lors d’une remise des prix trop amicale pour l’appeler « protocole », puis du repas d’après course. Quant au tuteur, l’Office d’animation touristique, il avait, avant la cuisine et le service, placé ses bénévoles – souvent des papets et mammys – aux croisements de chemins d’un parcours varié mais exigeant, et panoramique au bout de ses trois côtes. Un circuit tracé voici 3 ans, par un spécialiste des espaces verts du nom de… Lionel Gros.

Quand au club d’athlétisme de Lacaune, il a trouvé moyen de se distinguer par sa qualité sur toutes les courses : Yohann Girabancas remportant haut le pied les Foulées bergères, sur 6,8 km. Et le poussin Alexis Houlès étant le petit pèlerin le plus rapide sur la Ronde des jacquets.

 Les résultats

Ronde de 1 km.  1.Alexis Houlès  2.Anaël Bousquet  3.Simon Bousquet. Pour les filles : 1.Alissa Miraoui  2.Justine Canac Castan  3.Claire Chabbert.

Ronde de 2 km.  Vainqueurs : Pierre Delgado et Victoria De Just.

Foulées bergères (6,8km).  1.Yohann Girabancas en 27’01″.  2.Michel Madariaga (64 ans !)  3. Hugo Fabre  4.Marc Fabre  5.Lisa Guibbert  6.Marine Fabre  7.Loïc Barrau (minime) et 12.Aline Vincent (3e féminine). 15. Marie Rascol (4e féminine) 22 arrivants.

Foulées de Saint-Jacques.  1.Lionel Gros, les 16 km en 1h13’25″  2…………………. »  3.Jean-Michel Gras à 2’09″  4.Jean-Philippe Suc  5.Bastien Amalric (junior)  6.Dominique Bacha  7.Johan Guevara  8.Édouard Meiler (V3)  9.Cédric Nel  10.Fabien Amalric… 23.Éric Cambon  24.Cyrille Jacquemin… 46.André Suc… 83.Hubert Taru. Pour les femmes : 21.Isabelle Christoph en 1h24’15″  22. Audrey Catié, même temps  50.Martine Marti… 82.Yolande Culié… 91.Laurie Taru. Autres coureurs lauréats dans leur tranche d’âge : Anthony Valette (espoir), Kilian Dyjack (cadet), Christiane Augé (V2), Guy Agasse (V4), Françoise Lesnes (V3) et Leïa Miraoui (cadette). 99 arrivants.

 

Charcu’trail 2014

Charcu’Trails 2014 – Lacaune – Tarn -81

Le fond de l’air était frais, mais le ciel clément et dégagé sur les Monts de Lacaune, bref des conditions idéales pour chausser les baskets et aller se confronter aux pentes tarnaises pour fêter les 10 ans des charcu’trails de Lacaune. Un parcours remodeler et plus sauvage pour l’occasion.

Lot de charcut’, bouteille de Gaillac, ticket repas à base de produits locaux, viennent accompagner le dossard lors des inscriptions. Au total, 241 engagé(e)s sur le 22km, 60 sur le mini trail et 15 équipes

de relais de 2 coureurs. Randonnée de 14Km, et course enfants permettent à tous de profiter de la fête.

Le départ des 3 formats de course est donné à 9H30, après un briefing relatant l’âpreté du parcours et le balisage à suivre. Départ rapide où la tête de course se dessine déjà après un tour de piste, puis c’est parti pour les parties sauvages. Nature abondante, balisage abondant, obligation de lever la tête pour bien suivre le chemin. Ces consignes de briefing n’empêcheront pas une poignée d’irréductibles de s’égarer à travers bois. Les 220 autres concurrents suivent quant à eux bien le parcours et la bataille est déjà bien engagée au pic du Montalet.

Maxime DURAND fera la course en tête, terminant en 1H47, suivi de près par Pierre-Laurent VIGUIER sur la ligne d’arrivée. La 3ème place revenant à Nicolas DURAND s’assurant de ce fait de sa première place au challenge des trails du sud-ouest. Le second du challenge, Stéphane BACOU, venu des Pyrénées, termine à une belle 6eme place, se classant 1er V1 de la course.

CATIE Audrey termine 1ere Féminine en 2H13 suivie de SAIGHI Safia Lise venue également des Pyrénées, et de CHRISTOPH Isabelle (1ere V1).

Sur les relais Maël ALRIC et Francis MAURY dominent l’épreuve arrivants main dans la main avec le 1er solo.

Sur le mini trail, 8Km, GALANT Angel termine en 31’34’’, suivi du local GIRABANCAS Yohann en 32’47’’ et de POUJOL Alexis en 34’39’’. Chez les Femmes DASILVA Mylene en termine en 43’17’’ suivie de FABRE Marine et de DYJACK Jenovefa.

Remise des prix aux premiers chaque course et catégorie viendra animer le repas. L’organisation a dû cependant revoir les feuilles de pointage des 3 principaux ravitaillements afin de vérifier l’exactitude du classement.

Un anniversaire que l’équipe complète de l’AC Lacaune, et des nombreux bénévoles, a été heureuse de fêter avec les coureurs.

Une édition réussie avec des bénévoles toujours aussi dévoués. Toute l’équipe de L’AC Lacaune les remercie chaleureusement ainsi que les partenaires.

Les photos ICI

 

video

 

Résultats 8Km

Résulats 22km

Résultats 22Km en relais

 

Course des « escaliers » à la Salvetat

Malgré un temps maussade et orageux, la course des escaliers de La salvetat à eu lieu ce mardi avec plus de soixante participants. 16 lacaunais soit prés de 20% de l’effectif. Cette épreuve est l’une des plus dures de la saison. Non pas par sa distance, puisqu’elle ne fait que 3,5km, mais par sa technicité. Une façon trés originale de découvrir ce village. Au final on notera l’excellente prestation de nos lacaunais et lacaunaises puisqu’ils raflent 5 podiums sur 6. A  savoir 1er ex æquo Guillaume Bastien et Fabien, et chez les filles 2éme place pour Yolande suivie par Sonia 3éme. Un pique nique trés apprécié de tous clôturera cette soirée. Merci à tous et bravo pour vos perfs. 

Résultat:       Course escalier adultes 2014

Gijounade à Vabre

Des stratèges plus ou moins fins

« À la marque des 300 derniers mètres, sur la rampe avant le pont, j’étais archi-cuit. Et je sentais le souffle, de plus en plus chaud, du concurrent qui me suivait. Alors d’une voix suave, je lui ai susurré :  » Accroche-toi mon bon camarade… » » La stratégie d’Éric Cambon a payé : se sentant ennobli par autant de prévenances, son alter ego, vétéran 2 lui aussi, n’a pas éprouvé le besoin de sprinter vers la ligne d’arrivée. Avec de réelles chances de battre le boss. Pour Hubert (Taru), parcours différent :« J’ai marché durant les deux kilomètres de côte. Il faisait chaud, non ? » Hubert a ainsi pu garder toutes ses facultés pour admirer les paysages sur la crête, dont la vue imprenable sur le bourg. Et au retour, par un sursaut de galanterie, il a fini devant la douce Laurie, ravi de lui indiquer ainsi le chemin.

Le Bossuc (vétéran 3) n’avait qu’un objectif : se flamber un de ces V2 qui, s’ils respectent son âge, abondent en remarques cinglantes. Une aubaine à l’heure où l’acuité visuelle baisse : Jean (Rascol) était en orange fluo, et Alain (Valette) avait sorti son maillot bleu pétard. Pas futés, ces V2 tout de même ! C’est la casaque bleue que le Bossuc garda en ligne de mire, reportant son effort dans la descente. Effectivement, un rapproché intéressant, et le Bossuc fourbissait dans sa tête une saillie, vache et amicale à la fois, pour le moment proche où il allait dépasser. Cependant, ces mollets, hum… la chair lui paraissait bien un peu ferme. Un doute qui allait grandissant. Et fondé : c’était un jeune – peut-être même un « bleu » – que le Bossuc doubla ; le doc Valette étant dès lors visible un peu plus loin, mais inaccessible. Pour Céline (Bouquet), destin différent : elle a choisi de porter une petite. Et, sept mois après la délivrance, pensez si elle se sent légère : juste trois secondes à gagner, et elle se hisse prestement sur le podium des seniors imitant de surcroît la belle Sonia, 3é chez les V1 dames.

Avec l’organisation bon enfant mais bien cadrée des Caminaires du Gijou, retenons que, dans la lignée des commentateurs peu inspirés du Tour de France, l’on retrouve quatre Lacaunais aux 25 premières places des 123 arrivants. Et si c’était moins cinq (minutes) que Bastien, le plus jeune des Amalric comme des 14 Lacaunais, remporte la victoire générale, signalons aussi que Yannick (Biau) gravit, échelon après échelon, des paliers vers la tête de course. Et si Pascale (Valette) la podologue hybride (à racines vabro-murataises) était la dernière à rallier le départ, elle améliora son classement sur la ligne d’arrivée. L’occasion de signaler une représentation féminine plus qu’encourageante, y compris dans les performances. Comme les Vabrais conjuguent convivialité et compét’, ne boudons pas notre plaisir de voir Lacaunaises et Lacaunais obtenir six podiums. Du jamais vu depuis l’arrêt des courses de Saint-Salvi-de-Carcavès !

Éric Cambon, pressé d’aller se faire servir un demi par sa moitié (encore un jeu de mots : quand le boss boit, les valets rient) entraîna les vieux dans son sillage. Hubert et ses dames avaient, eux, la permission de minuit. Tout comme les jeunes, d’ailleurs : c’était la fête à Vabre. Mais là nos investigations ne nous ont pas permis de savoir s’il s’agissait de la minuit du samedi 26 juillet, ou celle du dimanche 27.

VABRE, 11 kilomètres

  1. Jean-Pierre Julien en 45’16″

14. Bastien Amalric en 50’11« (1er junior)

17. Yannick Biau en 51’12« 

20. Fabien Amalric, 53’07« 

24. Éric Cambon, 53’45 » (2e V2)

47. Jean Rascol, 59’18« 

52. Alain Valette, 1h01’03« 

55. André Suc, 1h01’47 » (3e V3)

87. Yolande Culié, 1h08’12 » (2e V2)

99. Sonia Bardy, 1h10’30« (3°V1)

100. Céline Bouquet, 1h10’40« (3°Se)

108. Hubert Taru, 1h17’34« 

109. Laurie Taru, 1h17’37″

122. Pascale Valette, 1h30’56« 

10 km du Bout du Pont de l’Arn.

10 km du Bout du Pont de l’Arn
ou comment solder les fractures au comptant

« Le toubib vient de me dire que, d’après la radio, j’avais une fracture du péroné. Voilà pourquoi vous ne m’avez pas trop vu depuis deux mois. » Dans le mini-car conduit par Éric le boss, se prélassent le vieux Bossuc, trois filles et trois jeunes. Dont Fabien, l’aîné des Amalric, qui poursuit : « Mais maintenant, je vais mieux : ça s’est ressoudé. » Ou à peu près. En cette journée torride du 20 juin, sa performance servira de tampon entre les « première catégorie » (les jeunes) et les « populaires » (les autres).

Accueil chaleureux donc au Bout-du-Pont, mais parcours d’un intérêt secondaire, au moins dans les zones pavillonnaires, même si quelques jardiniers ont sorti les tuyaux d’arrosage pour refroidir les mécaniques. Yohann (Girabancas) justement venait tout juste de ranger les clés à molette pour rallier la ligne de départ. Et il a trouvé la bonne carburation pour viser le tiercé final au challenge du Parc. Bastien le junior, et cadet des Amalric, reste fidèle à la plus haute marche. Quant à Yolande (Culié), malgré la complicité d’un lièvre (bonjour les chevilles) au km 9, et surtout au terme d’un sprint homérique, elle loupe le podium des vétéranes 2 de 30 secondes. Pas de douche autorisé, car le boss – qui, en ce jour de France-Suisse (football) avait été un car de supporters à lui seul –  voulait régaler aussitôt avec des chips de la montagne. Mais ce sera pour une prochaine fois, car l’organisateur avait prévu des poulets. Et de ceux qui donnent la patate : ils n’avaient que des pattes. Avec ça comment ne pourrait-on courir encore plus vite ?

Bossuc, 24 juin 2014

Résultats :

  1. Kader Mamou, les 10 km en 38’12

10. Yohann Girabancas 41’06

24. Bastien Amalric 44’37 (premier junior)

26. Yannick Biau 44’45

39. Fabien Amalric 46’16

91. Yolande Culié 57’27

92. André Suc 57’30

97. Sonia Bardy 58’24

111. Céline Bouquet 1h04’15

(119 arrivants)

10 km L’Equipe de Paris

10 km l’Équipe : 16 000 concurrents, et moi, et moi et moi…

 

Paris, dimanche 15 juin, ligne de départ. Enfin, façon de parler : le portique est bien à 300 mètres.

Ce coup-ci, je suis arrivé trop tôt : plus d’une heure avant. En métro, direct depuis l’hôtel PTT, sans survêt’ et sans bagage. Avec une bouteille d’eau et le flyer (maintenant, ils appellent comme ça le prospectus de présentation de la course). Mais sans lunettes. Si bien qu’après m’être échiné à déchiffrer les plaques de rue en sortie de métro, je m’échine tout autant à regarder les rues mentionnées en minuscule sur le schéma du flyer. Finalement ça sonne bien : le flyer. Fla hier, flagada demain. Pfff.

J’ai fait comme les autres : le tour du pâté d’immeubles. Avec des accélérations courtes. Pas s’user quand même. Puis je campe devant Beaubourg : le jour où j’aurai besoin de tuyaux, je reviendrai ici. Là, tu ne peux pas les manquer : bien visibles, des rouges, des bleus. Allez, faut rejoindre le sas des 48 minutes. C’est l’objectif. Ambitieux, car j’ai moins la patate qu’à Castres, où je m’en suis approché à 10 secondes. Et il fait déjà chaud sur le pavé de Paris.

Oups, mais c’est que des jeunes tout autour. Qu’est-ce que je dois faire rustique au milieu ! Heureusement que je n’ai pas pris le maillot de Lacaune (quelle contre-publicité sinon). Tandis que là : maillot noir floqué « Stargate », ça déchire grave, non ? Allez, se noyer dans la masse. Ah non, je ne pourrai pas. Autour, ils sont casqués, cordonnisés, brassardisés. Index et pouces vont bon train sur les tablettes… J’en reste chocolat. Tiens, celui-là, il parle (à qui ?) et écoute en même temps. Faudra que je demande à Alban comment ça se fait. Oh ! Et puis non, je risque de pas comprendre, tant pis. Faut laisser couler maintenant. Justement Alban, le fiston, où il est celui-là ? Encore heureux : il reste plus grand que la moyenne, sinon le chercher dans cette foule… Non, pas de Junior (26 ans quand même) à l’horizon. Toujours à l’heure et jamais en avance, comme d’hab. Mais le temps passe, vite. Ah si, il arrive là-bas. Là-bas de l’autre côté du boulevard. Hey, hey, hey : mais il ne me voit pas, il cherche pourtant. Ah un grand geste : ça y est enfin. Après, on se verra après : la course va partir. Il a l’air d’acquiescer. On avance un peu, puis on piétine à nouveau. Ah non, ça fait trop « Exode ». Depuis Noël que je ne l’ai pas vu. Je tente un mouvement de glissement latéral. Manœuvre réussie : smack, smack. « Comme je suis content de te voir ! Surtout que ça ne va pas durer. On se retrouve devant la statue de la République ? Parce que, en course, malheureusement, je n’ai pas d’yeux derrière la tête… ̶ Ha, ha, ricane-t-il, je vois que l’on peut être V3 et continuer à naviguer dans l’imaginaire, voire l’irrationnel. »

Allez, c’est à nous. Départ tambour battant, malgré quelques crochets durant le premier kilomètre pour éviter les faibles d’allure et de jugement. J’avance, mais il fait chaud. Tant pis, faut tout donner dès le début. Après, on compose. Après la gare de Lyon (toujours à Paris), au km 3, léger frottement d’épaule. C’est Junior. « Ah, bravo ! Fonce ! De toute façon, on se reverra… ̶  Sûr, sûr. dans une heure. » Et il s’éloigne mètre par mètre. Accroche-toi V3. Allez, c’est jouable. Au km 5, il ralentit pour prendre au vol une boisson. C’est suffisant. Gros effort, puis pimpant (en façade), je lui frappe à l’épaule : « Coucou, c’est encore moi. Toujours content de te voir. » Peu après il me redouble, définitivement. Seul, me voilà seul. Km 6 ? Pas plus ? Je paye la note des fiers-à-bras durant un kilomètre à six minutes (à vue de nez). Puis je me refais la cerise. Et surtout le mental. Mais elle est où, cette satanée Bastille ? Après, je vois bien la distance qui reste : j’ai été taxi ici-même. Mais, c’était il y a si longtemps. D’ailleurs on ne repasse pas à la Bastille. Et le portique d’arrivée, ce n’est pas ça là-bas ? Le voir, ça m’aiderait à ne pas capituler. Non, c’est un building. Peut-être qu’ils n’ont pas fait de portique au final ? De toute façon, la place de la République est bien au-delà de la ligne. Ah si, là-bas, enfin. Allez, fonce ! Bouh, j’en peux plus. Mais il ne faut pas qu’ « ils » me doublent. Pas maintenant. Enfin, pas trop… Pas tous.

 

Je finis dans le bon créneau horaire, comme Alban. Je lui rends 1’30″. J’accepte très bien, le reste est spectacle. Et suis content pour lui, peu entraîné après un accident de ski en mars. Puis, surtout, nous « referons le match » en ce dimanche de fête des pères, et même le lendemain. Et, comme lui, je suis heureux d’avoir participé à cette course. Mais, outre familial, le but principal de cette escapade n’était pas l’épreuve sportive. Ni cette rédaction, demandée par le boss, et que je serai peut-être le seul à lire, forcément, jusqu’au bout. Mais une dictée, la veille (finale des Timbrés de l’orthographe). Mais, entre Châtelet et République, je n’ai reconnu aucun de mes concurrents du samedi. Vive la compét’ !

Bossuc, 19 juin 2014

  1. Thierry Guibault en 30’28″

4843. Alban Suc en 48’12″

5890. André Suc en 49’43″

(16 189 arrivants)

 

 

Récompense sportive Mairie de Lacaune

Vendredi dernier la municipalité de Lacaune distribuait les récompenses sportives pour la saison 2013/14. Les trois meilleurs sportifs de la saison furent appelés et applaudis par l’assistance : à la 3e place, on trouve ex-aequo, deux licenciés de l »ACL (Athlétic club) Loïc Jacob, champion du Tarn de cross catégorie junior et 1er junior aux 10 km de Castres et Bastien Amalric, 1er junior à l’ultra trans d’Aubrac et 1er au semi marathon d’Albi; à la 2e place, Hugo Roussaly, vice champion des Pyrénées de moto-cross et 1er Evrard Guktin, champion des Pyrénées d’endurance moto-cross. Pour les trois clubs les plus méritants : 3e le Football club lacaunais pour l’équipe réserve en finale du Challenge Manens; 2e, le club de l’ACL pour les performances des deux juniors précités et le grand vainqueur, le club de l’OMLPL.

Interclubs à Carmaux

Samedi 14 juin, se déroulait à Carmaux, la dernière compétition de la saison des catégories poussines, poussins. Journée réservée aux interclubs. Notre seule fille et nos 2 garçons présents ne pouvant s’inscrire dans les courses de relais, s’étaient promis de se surpasser dans les épreuves individuelles. Lorène Galonnier réussissait 3 belles performances au triple saut avec un bond à 6,21m, au lancer de disque avec un jet à 11,46m et enfin un chrono de 4’46 » sur le 1000m. Alexis Houlès  réalisait un bon chrono sur 50m en 8″2 et un saut en longueur à 3,80m. Petite déception, en revanche au lancer de javelot: 18,70m. Vincent Soriano avec également une petite faiblesse au lancer de javelot: 11,15m. Par contre, 2 bonnes performances au saut en longueur avec 3,04 et un chrono de 4’15 » sur le 1000m. En fin de soirée, le responsable du comité départemental d’athlétisme, procédait à la remise des récompenses du challenge départemental. Classement très satisfaisant de nos Lacaunais. Lorène Galonnier termine à la 29ème place sur un effectif de 109 athlètes classées. Chez les garçons, 22ème place pour Vincent Soriano et la 1ère pour Alexis Houlès qui prouve une fois de plus qu’il est parmi les meilleurs du département dans sa catégorie, sur un effectif de 153 athlètes classés. Rappelons que le classement du challenge est calculé sur l’ensemble des 5 journées et que toutes les épreuves de l’athlétisme, à l’exception du lancer de marteau et du saut à la perche, y sont représentées. Pas question de faire l’impasse sur une discipline, il faut ètre excellent dans tous les domaines. Bravo à Alexis, Lorène et Vincent, ils ont largement mérité ces 2 mois de repos. Prochains résultats et peut-être d’excellentes surprises pour nos plus petits qui participeront à la dernière journée du Trophée de l’Avenir le samedi 28 juin à Sorèze.

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Finale départementale Benjamin à Castres

Petite journée pour notre benjamin, Nicolas Boucher qui n’a pas réussi à se surpasser et obtenir ainsi de meilleurs résultats, lors de la finale départementale samedi 1er juin à Castres. Performance moyenne sur 50m haies en 10″23, Déception au lancer de javelot avec un jet à 22,86m. Petite satisfaction au triple saut où il améliore tout de même son record personnel à 8,08m. Sur l’ensemble des èpreuves, il obtient 64 points et se situe à la 15ème place dans sa catégorie, ce qui représente un classement honorable. Un grand bravo à Nicolas pour son assiduité aux entraînements et compétitons tout au long de la saison. C’est toujours plus facile de se motiver quand on est plusieurs dans une même catégorie. Prochaine compétition pour les poussines, poussins samedi 14 juin, à l’occasion des interclubs à Carmaux où seront donnés les résultats du challenge départemental.

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