Samedi 30 avril, se déroulait à Carmaux, la 2ème journée de brassage des catégories benjamines, benjamins. Des conditions quasi hivernales, n’ont pas réussi à nos 4 Lacaunais. Seule notre benjamine, Lorène Galonnier réussit un parcours sans faute dans ses 3 disciplines choisies. Le 50 m haies: 11″35, le triple saut: 7,32m et le lancer de javelot: 16,92m. Avec un total de 57 points sur l’ensemble des 3 épreuves, elle améliore son record personnel et obtient sa qualification pour la finale départementale à Castres le 21 mai. Triste journée en revanche pour nos 2 benjamins qui n’ont pas réussi à rentrer dans la compétition avec des résultats très moyens. Alexis Houlès: 10″68 au 50m haies, 7,99m au triple saut et 18,05m au lancer de javelot. Vincent Soriano:10″63 au 50m haies, 7,44m au triple saut et 12,34m au lancer de javelot. Seule satisfaction, la qualification d’Alexis au triple saut pour la finale du 21 mai à Castres. Résultats décevants pour Nicolas Boucher dans la catégorie minimes. 17″ 57 au 100m, 3,07m au saut en longueur, 6,85m au lancer de poids et 13,96m au lancer de disque. Depuis son passage dans la catégorie supérieure, Nicolas ne parvient plus à réaliser de bonnes performances. Mais il reste encore une dernière chance de qualification samedi 7 mai à Albi. On croise les doigts.
Marathon d’Albi
10km, semi-marathon ou marathon, les coureurs avaient le choix de la distance ce dimanche 24 avril à Albi. Francis s’est élancé sur le 10km, deux boucles identiques de 5km dans le centre d’Albi, un premier tour pour visiter cette belle ville, un deuxième pour être sur de n’avoir rien manqué !! Le départ étant un quart d’heure après celui des autres épreuves, on ne l’a vu ni partir ni arriver, a-t-il vraiment couru ??
On était sept sur le semi-marathon, chacun cherchant à se dépasser pour améliorer ses performances personnelles. Nouvelle venue sur cette distance, Béatrice, espérant réaliser sa course en 2h30, pulvérise son record fictif en franchissant la ligne d’arrivée en 2h08. Mégane, toujours en « canne » prend la deuxième place de sa catégorie. Marie, malgré une quasi extinction de voix, la faute aux marmots dont elle s’occupe, a quand même tenu à participer. Aucun abandon, on a tous passé la ligne d’arrivée.
Maria, quand à elle, sur le marathon, va de plus en plus vite. Elle le boucle en 4h04, nous laissant sans voix, de quoi tenir compagnie à Marie !!!!! Félicitations.
Les parcours urbains, normal !!, étaient agréables. Départs et arrivées au stadium, un passage de 5km (2 pour le 10km) dans le centre d’Albi, puis une boucle vers St Juery pour le semi et la vallée du tarn pour le marathon. Comme c’était un aller retour, on a croisé les premiers, qui semblaient frais comme du bon pain, et les derniers, qui ressemblaient plus à du pain rassis de quoi nous rassurer sur notre propre état. Beaucoup de spectateurs tout au long des différents circuits nous ont encouragé, ça met du baume à l’ouvrage.
Francis : 0h48mn39
Lionel : 1h32mn52
Mégane : 1h44mn59 2ième espoir
Céline : 1h54mn07
Marie : 1h57mn37
Yolande : 1h58mn35
Manu ; 2h02mn59
Béa : 2h08mn33
Maria : 4h04mn06 4ième M2
Signé YOLANDE
Dimanche 24 avril 2016 avait lieu le marathon d’ALBI. Je l’avais inscrit à mon agenda, mais je me suis inscrit sur le semi marathon. Pourquoi ? Tout simplement pour aider une amie, Caroline, à faire son premier 21,195 Km. En plus, elle a tenu de le faire pour notre association IMAGINE FOR MARGO et pour les enfants malades du cancer ! Du coup, je vais courir avec elle !
Le départ est prévu à 08h45, mais j’arrive à 07h30. Je veux récupérer mon dossard et nous devons nous retrouver avec ma coéquipière du jour. Et là c’est pas gagné !
Je récupère le dossard et je trouve déjà pas mal de coureurs rencontrés sur d’autres courses. Il y a du vent et un petit 7 degrès. Le soleil est présent mais il ne chauffe pas. Le ressenti est loin des 7 degrès. De toute manière, nous n’avons pas le choix mais les discussions tournent sur quels vêtements se mettrent !
Puis ce sont les ami(e)s du club de LACAUNE que je retrouve. Nous serons encore bien représentés sur cette course. Elle est divisée en 3 distances : 10 km, le semi et bien entendu le marathon.
Les minutes passent vites et il faut s’équiper. Toujours pas de nouvelle de ma coéquipère… Je décide de mettre le cuissard court quand même. J’aurai pas froid en courant.
Je m’échauffe rapidement et je me place sur le dernier rang du départ du semi marathon. Nous partons en même temps que les marathoniens du jour. Cela fait plus de 800 personnes. Je doute retrouver Caroline dans cette foule. Alors en partant dernier, et en remontant les coureurs un à un j’espère la retrouver.
J’entends le speaker parler même si je comprends pas un seul mot de ce qu’il raconte. . Puis c’est le départ ! Applaudissements de la foule et on commence à avancer. Je fais le check pour les enfants comme je le fais à chaque départ de mes courses. Une pensée très forte pour eux ! Je serais sans mon épouse et mes enfants sur cette course mais je pense très fort à eux à ce moment et j’ai reçu un sms de madame un peu avant le départ. Cela gonfle le moral !
Je lance l’apllication et je prends le départ. Je commence donc à doubler et à chercher ma coéquipière que je n’ai pas encore vu. Je remonte petit à petit. 500m de course et toujours pas de Caro ! Et au kilomètre, je la trouve enfin. J’arrive à sa hauteur et je lui demande si elle cherche un meneur d’allure sympa !
Elle me dit de la laisser et de faire mon semi. Mais c’est pas prévu. Je l’ai taquiné jusqu’à ce qu’elle s’inscrive à ALBI en lui promettant de le faire avec elle à condition qu’on le fasse pour l’association IMAGINE FOR MARGO. C’est ok ! Alors je reste avec elle. Chose promise chose due ! Et nous sommes partis pour les 20 km qui « restent ».
Nous sommes juste devant la voile des deux heures. Cela motive Caroline même si elle doute pouvoir rester avec le groupe.
Nous avons un parcours en ville, passage dans le centre historique d’ALBI, passage devant la cathédrale et direction Saint juery. Et ensuite retour sur les bords du TARN.
Puis au cinquième kilomètre arrive le premier ravitaillement. Nous avons prévu de nous arrêter en vitesse pour en prendre à chaque fois.
Une amie de boulot de Caroline nous prend en photo au 6ème kilomètre ! Bien sympa d’ailleurs et nous ne nous faisons pas remarquer ah ah ! Tout le groupe est hilare
Et la course continue !
L’avantage pour l’avoir fait l’année dernière, le parcours n’a pas changé. Du coup, je peux donner des conseils sur des endroits où il faut en garder sous le pied.
Et les kilomètres s’enchaînent. La grande descente de la RENAUDIE arrive. Il nous faudra la grimper au retour. J’explique à Caro qu’elle n’est pas longue et qu’elle se monte facilement. On aura besoin de forces au retour.
Nous arrivons au 8ème kilomètre quand les officiels sifflent de partout. Les novices comprennent pas de suite. Nous allons croiser les premiers qui reviennent déjà sur la ligne d’arrivée. Ils ont 7 km d’avance sur nous. Des machines !
10ème kilomètre, nouveau ravitaillement. Le temps de s’arrêter, même si c’est rapide, la voile des deux heures nous prend une centaine de mètres.
Et puis direction le demi-tour ! Il arrive un kilomètre et demi plus tard. Nous sommes bien même si nous avons baissé en vitesse. Caro me dit qu’elle n’arrivera pas à passer sous les deux heures. Que je dois la laisser. Hors de question. Nous finirons ensemble. Le premier objectif est de terminer et nous terminerons. Le second courir pour l’association, on est dejà en train de le faire. Et puis il nous faut rentrer. Alors on va rentrer.
La montée de SAINT JUERY est avalée tranquillement même si ma coéquipière parle plus. Elle garde son souffle. Je lui parle et la motive. Nous arrivons devant un panneau 30 à l’heure. Je lui dis « on n’a pas à ralentir on est déjà en dessous ». Petits sourires ! Elle est motivée, je sais qu’elle ne lachera pas.
Nous avons la surprise de trouver une amie en haut de la côte. Cricri ! Elle vient courir en jean’s et basket avec Caro ! Génial pour le moral, elle lui parle et lui dit que c’est la fin de la côte et que la voile des deux heures n’est pas loin.
Passage de nouveau devant Myriam, la copine de Caroline ! De nouvelles photos sont au programme ! Cela a le don à chaque fois de gonfler le moral de la runneuse à mes côtés !
Ravitaillement du 15ème kilomètre. Fruits secs, eau et boissons gazeuses pour nous deux. Les ravitaillements sont fournis et les bénévoles s’emploient pour que chaque coureur ne manque de rien. Un super boulot !
Nous allons arriver à la côte de la RENAUDIE. Elle arrive au 16ème kilomètre. Alors je prépare le moral de Caroline. Hors de question de marcher, on va la monter tranquillement et on va doubler pas mal de monde, c’est certain. Elle me dit qu’elle a mal aux mollets et qu’elle me suit. Je sais qu’elle ne lachera rien et qu’elle va s’accrocher.
Et maintenant place à la montée du jour. Elle n’est pas « violente » mais après 16 km elle peut faire chuter les dernières forces de chaque coureur amateur. On se met d’accord et je me place juste devant Caro. Elle suivra mes foulées, que l’on va raccourcir, et on va gravir cela tranquillement.
Je lui parle durant la montée. Motivation, soutien et les fameuses pensées positives. Je lui dis qu’à la maison deux petites filles vont être fières de leur maman et sans parler de son mari ! Du coup, la montée est avalée tranquillement. Je sens qu’elle a tout donné mais elle n’a pas laché. Super, maintenant y a que du plat et une toute petite montée de rien du tout. Elle est déjà contente.
Nous rentrons de nouveau dans ALBI et quelques publics sont présents. J’en profite pour leur demander de supporter la « miss ». Bien volontiers, les gens le font. Faut dire qu’il ne fait pas chaud et il faut aussi qu’ils se réchauffent !
Myriam arrive encore à nous trouver ! Caroline a la chance d’avoir un « fan club » qui l’a suivi toute la course ! C’est top !
Les bénévoles qui tenaient le ravitaillement du 5ème kilomètre ont eu la super idée de rester et de nous donner encore un peu de force pour finir ! Caro prend vite à boire et des fruits, puis se retourne en me regardant du style : « Je t’attends ! « . J’adore ! Je reviens et nous attaquons la dernière petite montée. Je lui parle pour lui dire que c’est la fin. Qu’il faut profiter de l’ambiance, qu’elle oublie ses douleurs, qu’elle va finir son premier semi marathon ! Elle qui pensait ne pas y arriver, je lui dis que c’est pratiquement fait mais faut passer la ligne.
Nous rattrapons des coureurs partis trop vite ou encore ayant des crampes. On leur dit de s’accrocher avec nous. Qu’il reste que trois kilomètres. Mais ils n’arrivent pas à suivre notre rythme. Un petit geste de chaque côté comme pour dire « courage » et « merci quand même ». J’adore ce genre d’ambiance. On souffre tous et il y a une entraide non calculée qui nait entre nous.
La petite grimpette est terminée. Encore deux kiomètres et un tour de stade ! Caroline me dit qu’ils auraient pu enlever le tour de stade… Cela n’aurait pas fait un semi. Et pense qu’à l’arrivée y a le diplôme de finisher du semi !
Plus que deux ! Un ami en commun, Nicolas, faisant parti du club d’ALBAN arrive et court avec nous pendant quelques minutes. Il ne reste plus qu’un kilomètre. Je lui dit que les 195 mètres qui resteront ce sera pour le fun ! Je ne croyais pas si bien dire.
Nous arrivons au abords du stadium d’ALBI qui sera l’endroit de l’arrivée. Juste avant de rentrer, les membres du club d’ALBAN encouragent Caroline ! Elle qui serrait les dents quelques mètres avant sourit !
Là encore, c’est un moment génial ! Chargé en émotion mais ce n’est pas fini !
Pas fini pour la course mais pour les émotions aussi. A peine arrivés sur le stade, il reste donc 400m, les filles du club d’ALBAN arrivent et font le tour avec nous. Super moment là encore. Elles finissent avec nous !
2h04h54mn ! Mais cela est complètement aléatoire ! Caroline, mais aussi Isabelle ont fini leur premier semi-marathon !
Juste avant la ligne je laisse ma super coéquipière du jour passer la ligne devant moi ! Question de respect car j’étais sûr qu’elle pouvait le faire ! Et petit bisou vers ma maman comme de « tradition » depuis mon marathon.
Dès la ligne passée, Caro me remercie pour l’avoir motivée et poussée à faire cette course. « Je n’ai fait que te parler, c’est toi qui a couru ».
Une photo de groupe très sympa faite par Myriam qui a réussi à nous prendre en photos sur plusieurs endroits du tracé. Chapeau !
Depuis l’arrivée, Caroline veut se joindre à moi et à l’association pour aider les enfants malades du cancer ! Double résultat positif de ce semi marathon d’ALBI 2016.
Je la remercie pour cet engagement.
Je vous remercie aussi pour vos partages sur les réseaux sociaux. Que se soit pour la page « Courir contre le cancer des enfants » sur FACEBOOK ou la page du blog !Le cancer des Enfants est la première cause de décès par maladie avec 1 enfant sur 440 diagnostiqué avant l âge de 15 ans. Ces chiffres sont en progression de 1 à 2% chaque année depuis 30 ans. Avec 60 types de cancers différents, ces cancers restent des maladies rares et la recherche sur des nouveaux traitements n est pas rentable pour les laboratoires pharmaceutiques. Aujourd’hui, seulement 2% des frais de recherche contre le cancer sont alloués aux Enfants. Par conséquent lesmédicaments administrés aux enfants sont Off Label c est à dire des médicaments développés et testés pour des adultes et non officiellement autorisés pour les adultes. Faisons en sorte que le plus de monde possible connaisse leur combat quotidien !
Signé MANU
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Challenge départemental
Samedi 16 avril, sur le stade des Clauzades à Lavaur, se déroulait la 4ème journée du challenge départemental des catégories poussines, poussins. 5 épreuves à l’affiche du jour: Le 50m, le 50m haies, le lancer de poids, le triple saut et le 1000m. Près de 180 jeunes du département s’étaient donnés rendez-vous avec la présence de 7 Lacaunais, bien décidés à faire honneur aux couleurs de l’ACL. Pas de surprises chez les filles, puisque Justine Canac-Castan, conforte sa place de leader des Lacaunaises avec un total de 83 points sur l’ensemble des 5 épreuves et un chrono de 8″1 au 50m. Viennent ensuite dans l’ordre: Marion Azais 48 points, Sarah Sicard 39 points, Elise Bascoul 27 points, Romane Augé 12 points et Clara Vergely 8 points. Bastien Sylvain chez les garçons, termine les 5 épreuves avec un total de 45 points. Dernière journée du challenge départemental le 14 mai à Graulhet. Prochaine sortie pour les benjamins, minimes le 30 avril à Albi pour la 2ème journée de brassage.
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Prémian : avec un quintette de Lacaunais
Le trail du Somail avec son parcours dans le Bureau (c’est le nom du torrent qui cascade depuis le lac de Vésoles dans ces paysages à « couper le souffle ») a bien sûr un charme maximum. Mais, comme les 83 engagés, les Lacaunais ont bien apprécié la parcours de la petite, la Prémianaise (9 km environ), varié et tourmenté. Commun sur 4 ou 5 premiers kilomètres avec, avent la fourche, ces montagnes russes, durant 300 mètres, en prise à un fort vent latéral qui a dû bien tracasser les profils les plus fluets.
Pourtant, c’est la descente qui a marqué les esprits. Comme Dominique (Tichit) : « J’ai pris une gamelle à l’entraînement dans la semaine, alors j’ai préféré rester prudente. » Tandis qu’André (Suc) s’extasie : « Moi qui croyais être champion de la descente périlleuse, j’ai senti deux bolides sur mon paletot vers la fin. En leur laissant le passage, j’ai vu que c’était une gazelle et un… ours, car au jugé, il était plus lourd que moi, ce qui n’est pas peu dire. » Dans le même tempo que ce duo, en début de descente, Tatiana (Devic) [pardon, Tatiana, je ne t’avais pas reconnue, il est temps que je fasse quelque chose pour mes mirettes, à moins que je n’ai laissé toutes mes facultés dans les studios TV…] tirera elle aussi son épingle du jeu.
Mais les plus performants restent les hommes Tichit (Christophe, 23e et Florent, 31e), tant et si bien qu’ils eurent du mal à freiner, et poursuivirent ainsi ce dimanche en famille, en roulant vers la mer. Un peu de douceur iodé ne fera pas de mal au cas, où l’on irait courir dimanche prochain à Saint-Étienne… « Mais non, Florent, pas chez les Verts, au patelin d’à côté. à Saint-Étienne d’Albagnan… » Ah, un petit détail : 80 % des Lacaunais de Prémian ont « fait » un podium. Ils espèrent que les huit engagés dans l’Aubrac, ou les huit autres gambadant sur Albi et la vallée du Tarn seront à l’unisson. En tout cas, pour la célérité du compte rendu, il n’y a pas photo : ceux de Prémian sont « prem’s ».
La Premianaise, 9 km.
23e Christophe en 50’19 »; 31e Florent, 3e junior ; 37e André, 2eM3 ; 38e Tatiana, 2e senior ; 46e Dominique, 2e M1 en un peu mois d’une heure (59’59 »), sur 82 (à vérifier) arrivants.
Bossuc | | Courses Adultes |
Aiguefonde. Les podiums ? C’est toujours pour les mêmes…
Dimanche 17 avril, 8h30, briefing d’avant course au café avant de quitter les Monts de Lacaune. Le patron Ricou est en forme : « Bon, Bastien, Dédé, vous me faites un podium. » C’est tellement clair et précis qu’Anthony (Valette) en avale de travers (temporairement) la moitié de son croissant : « Et moi, non, on me demande pas ? J’ai peut-être pas le droit de faire un podium ? » Ainsi va le charme des catégories rares, aux âges extrêmes.
Aiguefonde, midi. « Quelle que soit la matière ? Attends, je calcule… Non, c’est bien la première fois de ma vie que j’obtiens une coupe. » Dominique (Tichit) reste sobre dans sa joie. Toujours au plus près de l’action, comme il sied à un bon arbitre de rugby, son mari Christophe renchérit : Faut dire que Domi ne court que depuis l’an dernier. » Voilà qui promet.
Joli tir groupé du trio lacaunais : Christophe (36ème) termine sur les talons d’Anthony, et proche d’Éric (Cambon, 33ème). Le président, grâce à une descente un peu plus casse-cou que la moyenne dans la seule vraie portion boueuse, a même pu damer le pion à l’incontournable Master 3 Édouard Meiler. À l’arrière, André (Suc), master 3 lui aussi, qui aime tant être champion, sait pourtant que, où qu’il aille, il aura toujours le bonjour d’Édouard. Mais n’en continue pas moins de s’échiner pour une place au mieux poulidoresque. À l’avant, Bastien (Amalric) a assuré une fois de plus, malgré une relation tendue avec un tendon : premier espoir. Voilà qui promet un duel homérique entre l’équipe de jeunes et l’équipe de vieux samedi prochain sur les pâturages (ou les travers ?) de l’Aubrac.
Pour revenir à Aiguefonde, après que les élus aient parlé, non pas pour ne rien dire (enfin, peut-être…), mais pour ne pas être entendus (acoustique salle) ni écoutés (brouhaha), la moitié des Lacaunais sont montés sur le podium. Pour donner une bonne note finale à cette course. Qui, même sans ce dénouement, aurait été bien sympathique.
Aiguefonde, 1o,7 km
14. Bastien (1er espoir) 33. Éric 35. Anthony 36.Christophe 96. Dominique (3ème M1F) 103.André (3èmeM3), avec 156 arrivants.
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Brassacatrail, çà c’est du trail !
Une nouvelle fois, je commence cet article par une dédicace. Comme lors du récit du semi-marathon de MONTAUBAN, le décès d’un petit héros est intervenu quelques jours avant ma course. Un jeune garçon qui s’est battu comme un lion contre la maladie. Je te dédie cette course belle étoile ! Mes amitiés et condoléances à tes proches et ami(e)s.
Je vais en venir à cette course. En premier lieu, je tiens à vous dire que je n’étais pas chaud du tout pour faire ce trail. La blessure à l’ALBATRAIL m’avait bien refroidi et je ne me sentais pas du tout à repartir faire des grimpettes tout le temps. En plus, j’avais fait la reconnaissance de ce parcours il y a quelques mois avec les coureurs de BRASSAC.
Le lieu est magnifique et le temps est au beau alors qu’il a plu toute la semaine. C’est déjà cela !
Pont enjambant la rivière AGOUT
Le dossard a été récupéré la veille et mon départ sera à 10 heures pour un 13 km. Mais j’arrive plus tôt. Des amis du club et des collègues partant pour le 28 km se lancent à 08h30. Alors un petit encouragement au départ, c’est toujours çà !
Ils partent dans une super ambiance !
A mon tour d’aller me préparer. Cela se fait rapidement. Chaussettes, cuissard, casquette, chaussures, gants (il y a un petit vent frais), gourdes et téléphone dans son brassard. Et bien entendu, le beau maillot bleu d’Imagine For Margo ! Ca y est… Y a plus qu’à faire l’échauffement. Je croise un paquet de coureurs. Faut dire que les organisateurs ont fait le plein. Plus de dossard de libre. Il y a deux courses au départ (7,5km et le 13) mais aussi les relayeurs du trail long qui attendent leurs camarades partis à 08H30.
Je trouve des ami(e)s du club de LACAUNE. Nous venons en voisins et nous serons nombreux à s’être inscrits. Chacun parle du parcours et des courses faites la semaine dernière et on se place sur la ligne de départ.
Un collègue qui attend son relayeur vient me trouver rapidement et me tend son poing pour faire un check et me dit « pour les enfants malades ! ». Je lui réponds la même phrase. Cela m’a étonné mais je suis content. Mon combat pour ces enfants commence à se savoir
Le speaker annonce un départ éminent et comme pour le lancement des fêtes locales, nous partirons au deuxième coup de canon. Le premier puis le second claque dans le ciel bleu.
Pour pratiquement tous les coureurs le rituel est le même : lancement des applications ou des chronos. Il en est de même pour moi.
Je me lance dans les rues de BRASSAC, tranquillement comme cela été prévu ! Une petite vidéo du départ où je filme les deux amies du club avec qui je me trouve. Eclats de rires ! Puis je range le téléphone.
Après 400 m, je leur souhaite bonne course et j’accélère. Je sais qu’au premier kilomètre, nous aurons notre première belle côte dans des chemins escarpés. Je double pas mal de monde et je quitte le bitume pour ce premier chemin. Je retrouverais « mon bitume » que dans 11 km… Que cela sera long.
Je monte en courant cette première côte. Pas mal de coureurs marchent depuis quelques centaines de mètres. Faut dire que le pourcentage pique de suite. Mais comme le chemin est mono-piste (la place pour une seule personne), je suis le mouvement et je marche.
Je sais que ce n’est pas la seule montée que je vais devoir faire. En fait, c’est un vrai trail. Des montées impressionantes et des descentes techniques. Le but étant de finir sans se faire mal ! C’est le seul objectif de la journée après celui de faire connaître l’association IMAGINE FOR MARGO.
le dénivelé
La descente se passe bien car c’est sur un chemin en terre et malgré la pluie de la semaine, pas de boue. Cool !
Puis c’est au tour d’un faux plat montant. Un photographe d’Afum-Team est là pour faire des photos souvenirs. Très sympa de pouvoir trouver des photos des courses que l’on fait. J’en profite pour bien montrer ce maillot !
Je me retrouve dans une partie que j’apprécie. Un sous bois roulant et descente vers la rivière Agout. Là surprise, je dois traverser sur un ponton en bois. Super moment surtout que des organisateurs et spectateurs attendent de l’autre côté dans une ambiance géniale. Il y a de la musique, des encouragements et même une corne de brume. Génial !
Non seulement le paysage est magnifique mais avec l’ambiance, ce sont des moments magiques.
Une fois sur l’autre rive, je sais que j’ai un kilomètre à peu près de « plat » avant de reprendre la grimpette. Et là, l’apllication me dit que je cours à 11km/h. « Houla Manu, tu avais dit que tu le faisais tranquillement ». C’est vrai que j’avais dit que je le ferais en « diléttante ». Alors je ralentis et je ne fais pas semblant.
Je me fais doubler par les coureurs et amies du club que j’avais laissé deux kilomètres ou trois avant. Alors je décide de faire un « reportage photos » dès que je le pourrais. Mais pas dans l’immédiat. Une belle côte se présente à moi. Ce ne sera pas la dernière. Une fois en haut, premier ravitaillement ! Cool ! J’arrive en même temps qu’une jeune femme et nous repartons ensemble. Je passe devant dans la petite descente et nous nous retrouvons sur le flanc de la colline avec une superbe vue de la rivière passant en dessous. Je n’ai pas sorti le téléphone à cet endroit car si je le lache jamais je ne l’aurais retrouvé. Du coup, j’ai trouvé une photo de la reco !
Je lui demande si elle veut me doubler, je me mettrais sur le côté. Elle me répond entre deux souffles « non c’est bon, je suis ».
Et maintenant le gros du trail ! L’enchaînement des deux grosses montées. Avec juste une descente très pentue entre les deux ascensions.
J’y suis. Je sais que même en faisant la course tranquille, cela va piquer. La jeune femme s’accroche derrrière moi. Elle a juste eu le temps de me dire qu’elle était la première dans sa catégorie. « Accroche toi, je t’emmène en haut des deux côtes et après tu pars ». Elle s’appuie derrière moi et on monte la première grosse difficulté. Elle me prend même quelques mètres au sommet. Durant la descente je la rattrape et je la double en lui faisant signe de venir avec moi. Quelques flaques de boues sont présentes faisant que la vue est très sollicitée. Pourquoi ? Je suis sujet aux entorses et je suis tout le temps en train de vérifier où je vais poser mes pieds !
En bas de la descente, nous traversons un petit ruisseau sur un tronc et là en levant la tête, je suis face à un mur. Un mur de rochers ! Il va falloir monter presque à quatre pattes. Je regarde ma « coéquipière » et nous voilà partis dans cette montée impossible. A quelques mètres du sommet, je la laisse passer et je lui dis de partir je finirai tranquillement. Elle me fait un petit signe et je la vois continuer sa course.
Le ravitaillement est un kilomètre plus loin. J’arrive sur ce point super important et je trouve des amis qui s’occupent de remplir les verres, les assiettes de fruits etc… Du coup, on taille la discute quelques minutes avant que je reparte. J’aurais jamais pensé faire cela en course. Mais c’est un trail et je conitnue à le faire tranquillement.
En longeant un petit ruisseau je sors le téléphone et hop une photo. L’endroit est magnifique. Je me fais doubler et un coureur me dit au passage avec un grand sourire : « Oh un touriste ! ». Gros fou rire !
Il ne restera plus qu’une côte avant de descendre sur l’arrivée.
Je sais que cette dernière est moins pentue que les deux dernières escalades. Mais elle me fait mal. J’ai rattrapé un groupe et je suis aussi avalé par un autre. Du coup, nous sommes nombreux dans cette montée. En haut…. Je suis tout seul. Plus un coureur devant, pas un coureur derrière. Ils sont passés où ?
Bon… direction l’arrivée. Vivement car j’ai les jambes lourdes ! Le trail, quelque soit la vitesse, me laisse des marques !
Je quitte les bois et rerouve mon bitume ! ah ah ! Enfin mon bitume ! Deux bénévoles sont là. Deux dames avec un sourire jusqu’aux oreilles. « Avec vos sourires, cela fait plaisir de passer devant vous ! » « c’est la fin, mais c’est presque que du bitume désolées ». « C’est pas grave j’adore çà ».
Il reste pas grand chose à faire, un kilomètre. Petit passage sur les bords de l’agout et direction le pont avant l’arrivée. (Photo que je vous ai mise un peu plus haut).
En arrivant sur ce pont, j’arrive en même temps qu’un coureur du 28 km. Je le laisse passé. Il a l’air bien fatigué et je le comprends. Leur parcours était plus dur et avec plus de dénivelé que le mien….J’aurais pas pu !
Dernière petite montée dans les ruelles de BRASSAC où se trouvent des licenciés du club de LACAUNE. « Allez Manu, c’est la fin ! » Gros sourires et je finis calmement en profitant de l’ambiance. Les encouragements, les bandas, le speaker qui annonce mon arrivée. Oh la star !
Il en sera de même pour tous les coureurs mais bon, je peux me faire plaisir aussi non ?
Passage sur la ligne et photo officielle. Comme d’habitude, un bisou pour ma maman et un autre pour ce super héros parti trop tôt à qui je dédie cette course sur la ligne.
Voilà pour le récit de ce BRASSAC’ATRAIL 2016 ! Je vois que je n’ai pas le niveau pour ce genre de course. Je suis fatigué à l’arrivée malgré le fait de l’avoir fait tranquillement sans penser ni au chrono ni au classement. Malgré cela ça pique !
Prochaine course, ce sera le semi-marathon d’ALBI !
N’oublions pas le combat pour les enfants victimes du cancer qui se battent tous les jours aidés de leurs parents, famille et proches. Imagnie for Margo les soutient dans leur combat !
Manu 2016
Résultats: ICI
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4é Trophée de l’avenir à Castres
Déplacement de nos jeunes pousses au stade du Travet à Castres pour la 4ème journée du Trophée de l’Avenir avec au programme, le 30m haies, le triple saut, le lancer de poids et une course en relais par équipes. Excellente prestation de nos filles, à l’image de Laurie Sicard qui obtient 13 points sur l’ensemble des 3 épeuves, suivie de Manon Fabrès et Ambre Vidal, 10 points. Séléna Bayle termine avec 8 points. A noter les 2 belles performances de Laurie et Ambre au 50m haies avec un chrono de 7″4. Chez les garçons, pierre Soriano termine en tête des Lacaunais avec 9 points et un chrono de 8″0 au 30m haies. Viennent ensuite, Yannaël Pommier: 8 points, Andréas Rivain: 7 points, Nathan Cazabonne: 6 points et Jonathan Antunès: 5 points. L’étape suivante aura lieu à Vielmur le 21 mai. Samedi 16 avril, rendez-vous pour les catégories poussines, poussins à Lavaur.
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Marathon de Montauban
Tout d’abord, je tiens à dédier ma course à une petite fille qui s’est battue contre le cancer. La maladie l’a malheureusement emportée. Elle a toujours combattu et motivé les autres par son humour et sa joie de vivre. Je tiens à apporter mon soutien à sa famille et lui dédier mon semi-marathon. Repose en paix Maurine.
Le dimanche 3 avril 2016, je me trouvais au départ du semi-marathon de MONTAUBAN.
J’avais prévu en début de saison de courir le marathon dans cette ville mais le peu de temps pour prévoir l’entraînement a fait que je m’y suis pas inscrit. Un collègue et ami, blessé, m’a fait don de son dossard. Du coup, je visiterai MONTAUBAN sur 21 km et des poussières.
Merci Alex !
Arrivés la veille au soir avec mon épouse, nous allons dormir à l’hôtel à moins de 5 mn du départ. Cela évitera le départ aux aurores pour rejoindre la course.
Repas au resto en tête à tête et nous allons voir où retirer le dossard le lendemain et la ligne de départ. Cela est rapidement fait !
Réveil à 6H45 ! Pour un dimanche sans boulot cela fait drôle. Je suis plus motivé que madame mais c’est normal. Moi j’ai une course à faire.
Premier réflexe, tirer le rideau pour voir la météo extérieure. Il semble que le vent de la veille soit tombé, le soleil veut percer les deux ou trois nuages qui traînent. Il va donc faire bon ! Bonne nouvelle !
Petit déjeuner et direction la voiture pour récupérer le dossard. Garé juste en dessous du village marathon, en cinq minutes, nous avons notre place de parking et j’ai mon dossard. Ce sera le 1482 pour ce semi.
Photo devant la ligne d’arrivée avant même le départ !
Je retrouve deux amies du club de LACAUNE. Elles aussi feront le semi marathon. Nous serons 5 à le faire.
Il est 8h30. C’est le départ du marathon. Je me trouve juste derrière les barrières lorsque le starter lance la course. J’applaudis les runners qui partent dans cette aventure. Un petit pincement au coeur car je me dis que j’aurais pu y être.
Je n’y pense pas longtemps. Car dans une demi heure cela sera mon tour. Je vais m’échauffer et voir si tout va bien au niveau musculaire. Et je vois de suite que cela répond bien et que je ne devrais pas avoir de problème.
Les minutes passent et le départ devient éminent. Nous avons le droit à des meneurs d’allures. Un pour les 1h30 et un pour faire 1H45. Je me sens pas prêt à faire 1H30 et je sais que je peux rester sous les deux heures moins le quart même sans avoir fait d’entraînement spécifique et surtout sans fractionné.
Alors je me place entre les deux voiles.
Madame fait des photos et même des petites vidéos que je vous joins pour vivre les dernières secondes avant le départ et ce dernier dans les conditions du direct comme ils disent à la télévision !
A 2 mn du départ
Le temps de préparer l’application et la musique pour la course, et j’ai juste le temps de faire le check avec mon épouse pour les enfants avant que la course soit lancée !
Et c’est parti ! 21,195 km au programme. Le temps est magnifique. Nous sommes nombreux lors de ce départ car il y a non seulement les inscrits du semi mais aussi ceux du 10 km et des relais.
L’épreuve se déroule dans MONTAUBAN intra muros. Pas de sortie de l’agglomération donc cela sera du bitûme tout du long.
Des passages dans les grandes avenues sont au programme. Je pars rapidement sans me mettre dans « le rouge ». Tout se déroule bien. Les kilomètres s’enchaînent. Nous avons de grandes lignes droites et des demis tours avec un retour de l’autre côté de la chaussée. Je vois deux amies dans la rue en sens inverse et je peux les encourager et taper dans la main de Marie qui semble très bien elle aussi.
Puis je me retrouve sur une petite allée ombragée. Cela permet de prendre un peu de fraîcheur car le soleil commence à taper et la température à augmenter.
Les 10 premiers kilomètres sont vites avalés. Je me sens bien et je me dis que je peux aller chercher mon record personnel. Je me le dis vite. Car je sens que l’envie d’aller plus vite n’est pas là. J’ai aussi peur que le manque d’entraînement se fasse sentir si j’accélère.
Les ravitaillements se prennent à la volée. De l’eau quelques fruits secs. Je n’en rate aucun. Le mercure commence à bien monter et il ne faudrait pas manquer d’eau dans le corps.
Pour une fois, je me retrouve près d’un courreur avec qui nous faisons presque 6 km. Il me fait signe au 15ème car il ne peut plus suivre. Je me dis que maintenant je finirai bien. Il ne reste que 6 km. Alors j’accélère un peu. Les jambes répondent bien et la chaleur ne me dérange pas plus que çà.
En arrivant au 18ème kilomètre, une petite chaleur se fait sentir au pied gauche. Cela change ! Une petite chaleur sous la plante du pied… çà aussi çà change.Pas de douleur mais je préfère ralentir un peu. Les courses prévues vont s’enchaîner et hors de question de se faire mal. Je ne veux pas risquer une blessure et ne pas pouvoir y participer. Donc pas de record aujourd’hui. On reste tranquille et je finirai à ce rythme.
Je retire le casque et la musique et je profite des quelques animations sur le bord du parcours. Pas beaucoup en fait mais c’est toujours sympa.
Dernier ravitaillement et une bouteille d’eau afin de bien s’asperger. Le changement de climat n’est pas évident pour certains coureurs. Quelques uns prennent littéralement une douche a chaque ravito.
Passage dans les ruelles proches du vieux MONTAUBAN, au bord du tribunal. Il y a du monde et cela encourage tous les participants. C’est bien sympa !
Et voici le dernier kilomètre : du coup beaucoup accélèrent. Je reste à mon allure et je finis en roue libre devant tout le public posté près de l’arrivée.
1h42mn et 12 secondes
Photo à l’arrivée
Je suis content du chrono. Sans véritable entraînement, le temps est sympa. Le pied chauffe un peu mais pas plus que cela. Je ne boîte pas comme après le semi et le marathon de TOULOUSE. Juste une petite alerte.
Du coup, on va reprendre rednez-vous avec la podologue au plus tôt.
Retour à l’hôtel pour prendre la douche et retour à la maison !
Merci à mon épouse et à mes ami(e)s pour le soutien aussi bien sur l’application de running ou sur les réseaux sociaux !
Merci encore pour vos partages sur les facebook et autres twitter pour faire connaître mon combat pour soutenir les enfants malades du cancer.
Un dernier mot, deux autres enfants que je suis sur internet se battent comme des lions contre cette maladie. Je veux leur apporter mon soutien et ma force pour qu’ils puissent vaincre ce fléau et aussi à leur famille. Courage !
Dimanche prochain cela sera un trail. Le BRASSACATRAIL sur un parcours très valloné de 13 km. Là, je vous le dis dès à présent, je le ferai très tranquillement mais toujours en faisant connaître l’association IMAGINE FOR MARGO.
Go Fight Win Manu 2016
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1er journée brassage ALBI
1ère journée de brassage pour les catégories benjamins, minimes samedi 2 avril au stadium d’Albi. 3 èpreuves à choisir pour chaque athlète dans cette compétition avec pour objectif principal, réussir les minimas en vue d’une qualification aux championnats départementaux fin mai. Lorène Galonnier réalise une belle performance au lancer de disque avec un jet à 17,25m et une place pour la finale dans cette discipline. Autres performances de Lorène; 9″10 au 50m et 2,91m au saut en longueur. Chez les garçons, qualification facile d’Alexis Houlès au lancer de disque: 22,62m et au 50m: 8″31 mais une petite déception au saut en longueur à 3,73m. Belle performance de Vincent Soriano au saut en hauteur: 1,22m, lui aussi qualifié. Ses 2 autres performances, 15,94m au lancer de disque et 8″45 au 50m à 1/10 de la qualification. Notre minime, Nicolas Boucher n’a pas réussi sa 1ère journée avec des résultats très moyens: 8″61 au 50m, 7,92m au triple saut et 20,79m au lancer de javelot. Il reste encore 2 journées à nos jeunes pour s’améliorer et obtenir d’autres qualifications pour la finale départementale, gageons, qu’ils auront à coeur de faire briller les couleurs du club lors de ces prochaines sorties. On compte sur vous.
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Challenge départemental Aussillon
Des conditions climatiques excellentes pour cette 3ème journée du challenge départemental des catégories poussines, poussins qui se déroulait sur le stade René Carayol à Aussillon. Un grand bravo à nos jeunes qui malgré ce week end pascal avaient décidé de participer à cette épreuve. A l’affiche du jour, le 50m haies, le 1000m, la longueur, les lancers de disque et de javelot. Brillants résultats de Justine Canac-Castan qui parvient à totaliser 76 points sur l’ensemble des 5 épreuves et une remarquable performance au lancer de disque avec un jet à 16,45m. Viennent ensuite Marion Azais: 52 points, Sarah Sicard: 47 points, Elise Bascoul: 29 points, Clara Vergely: 22 points et Romane Augé: 16 points. Bastien Sylvain, seul Lacaunais présent, réalise 44 points et un excellent chrono de 11″0 sur le 50m haies. Félicitations à tous les 7. Samedi 2 avril, déplacement de nos benjamins, minimes à Albi pour leur 1ère journée de brassage.
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