TRAIL DES BANUTS

TRAIL DES BANUTS 24 SEPTEMBRE 2017

Quelle belle journée en ce dimanche 24 septembre!!!Le soleil est au rendez vous et les températures devraient monter au fil des heures….

Rendez vous donc chez Janot à 7h30 pour Ricou(qui ne court pas aujourd’hui pour cause de tendinite mais qui sera présent tout le long du parcours pour nous HURLER dessus quitte à frôler l extinction de voix!!!! 🙂 ), Domy , Christophe et moi….avec les chocos!!!Au top les Tichit!!! :)Merci…On retrouvera sur la route lionel.

Nous voilà donc partis pour le trail des Banuts à Combes(34), et sur la route qui nous y mène que de beaux paysages….belle course en perspective…

Arrivé, inscription sans repas mais pas grave Christophe et Domy ont prévu un pique nique gargantuesque!!!Mais ça c’est pour aprés!!! 😉

On retrouve des connaissances…une bonne participation pour ce trail, environ 175 coureurs pour le 16 km, 120 sur le 33km avec Cyrille pour les lacaunais, le reste de la troupe se contentera du 16….et quelques randonneurs pour compléter!!

Bonne ambiance et le départ est donné à 9H30 avec conseil du coach de se placer devant pour ne pas etre freiner quand ça fait entonnoir…hem…Domy pense que ça risque de la démoraliser si il y en a encore plus qui la double!!!!Bon on verra…c’est parti!!!Cyrille est déjà parti à 8h…

Un beau parcours, à travers bois,et puis on monte,…une vue incroyable sur le Caroux, magnifique avec ce beau soleil qui commence à bien nous réchauffer d’ailleurs!!!! IL fait chaud donc mais que du bonheur, du roulant, des monotraces, du sous bois et des cailloux….surtout dans les descentes un peu techniques,si si Janot…tu n’as pas voulu affoler Domy mais elles etaient pas mal ces descentes!!!!J’ai adoré….:(…mais y ‘avait quand même de belles côtes et là j’étais CONTENTE!!!!! 🙂

Donc une belle course encouragée par notre coach fidèle à tous les endroits stratégiques….et que l’on entend  hurler dans tout le massif!!!! « TU LÂCHES RIEN ALLEZ!!!! »ça motive c’est sûr!!!Du coup je passe en tête des filles et je rattrappe même Chritophe qui me met tout de même un vent sur la partie plus roulante….

Tout le monde s’accroche, même Domy qui se voit contrainte d’arrêter la course pour cause d’hypoglicémie….On la récupère déçue certes mais décidée à prendre sa revanche l’an prochain!!!

Les Lacaunais n’ont pas démerité sur ce superbe trail et les résultats le confirment:

Résultats des podiums:

Le Lion second scratch sur le 16km

Virginie première féminine et 13é scratch sur le 16km,

Christophe 10é scratch, Janot 72é/175 sur le 16km

Cyrille 21é/120 sur le 33km

On retrouve ensuite Marie Claude, Marie et l’adorable petit Gabriel ainsi que Yvonne et Alain pour un moment trés convivial  , comme toujours….et tout le monde apprécie grandement le pique nique….même  ceux qui n’ont pas couru…. »ON N’EST PAS BIEN ICI!!?? »

🙂 🙂 🙂

Encore bravo à tous…et à la prochaine!!!!

VIRGINIE…..

RESULTATS: 16KM     33KM

 

Journée découverte

Ambiance sympathique pour cette 1ère journée de découverte de l’athlétisme organisée par l’athlétic club lacaunais. Une vingtaine d’enfants de 5 à 12 ans s’étaient donnés rendez-vous le samedi 23 septembre dans la salle de la Balme, pour une participation à l’animation proposée par les éducateurs du club local. Pas de classements, pas de performances, mais une série d’ateliers ludiques sous forme de courses, de sauts, de lancers, et une envie de se surpasser devant les parents venus les encourager. Une médaille et un goûter pour chaque athlète clôturaient cette manifestation qu’il serait peut-étre judicieux de renouveller. Un grand bravo à tous ces jeunes.

Semi-marathon de TOULOUSE

Pour la troisième année consécutive, je suis inscrit sur le semi-marathon de TOULOUSE et ses 21 Km.

 

En ce dimanche, le temps est couvert. Pleuvra t’il ? Tout le monde espère que non, et j’en fais bien évidemment partie. Même si la pluie ne me dérange pas plus que cela (j’aime pas le vent lorsque je cours), c’est quand même mieux de courir au sec.

 

Récupération du dossard avec un ami qui fera son premier semi. Comme d’habitude ici, la distribution est rapide. Cinq minutes suffisent pour entrer, attendre un peu, récupérer le dossard, donner la taille du maillot et recevoir le maillot de l’épreuve 2017 ! Rapide, efficace et avec le sourire. Comme chaque année à TOULOUSE. Bravo déjà aux organisateurs et bénévoles.

 

Pour ce qui est du maillot, je garde celui d’Imagine For Margo. Il est important de pouvoir le montrer dans ces épreuves. Le monde présent, les personnes qui posent des questions ou encore ceux qui le reconnaissent.

 

Mon semi-marathon de TOULOUSE

 

Question chrono, je ne me suis donné aucun temps à faire. Je suis toujours dans le cadre de l’entraînement marathon, donc les jambes sont habituées à courir à une certaine vitesse. De ce fait, on verra comment cela se présente au moment de l’échauffement et du départ.

 

Mon semi-marathon de TOULOUSE

 

Départ dans 35 mn. Il faut finir de se changer et de partir voir comment réagissent les jambes et le corps. Le pote lui partira beaucoup plus vite que moi. Il vise un chrono de 1h30. Du coup, il me demande ce que je compte faire. Je lance un 1h48/1h50. Le but étant de faire une sortie longue pour le marathon.

 

Échauffement terminé, je fais le check avec mon épouse pour les enfants malades. Une tradition maintenant depuis plus d’un an. Une pensée pour les enfants et leurs familles avant de rentrer dans « ma bulle » et la concentration de la course. Même si je le fais dans l’entraînement, il faut bien penser à sa course, sa respiration, se ravitailler etc… Pas si simple que cela de faire de la course à pied.

 

Je prépare les applications pour courir. Un petit mot sur la page Facebook et me voilà prêt. Comme sur chaque course, le speaker donne la parole aux organisateurs. Cela dure pas longtemps et le décompte commence.

 

Je sais que j’aurais deux tours à faire, je repasserais donc sur la ligne de départ trois fois en plus (une au départ, une au 1er tour et l’autre juste avant l’arrivée). Et c’est parti !

 

Je me lance dans les rues toulousaines. Il me faudra faire un tour dans certains quartiers en bordure de la rocade, puis dans une zone industrielle, une avant dernière partie sur le bord du canal du Midi, une grande rue toulousaine avant de passer devant le stade Enerst Wallon qui habite les matchs du Stade Toulousain en rugby. Autant dire que je connais bien les lieux. Puis une deuxième boucle!

 

 

La pluie n’est pas là, le vent jette quelques rafales mais rien de bien gênant. La seule chose qui me dérange c’est qu’en me préparant j’ai vu que je m’étais trompé de paire de chaussures…. Le nul ! J’ai pris celle qui n’a pas les semelles à l’intérieur. Je les ai depuis le premier semi-marathon ici car mon pied droit avait « chauffé » sous la plante du pied… Pas le choix, on fera avec. Du coup, cela me travaille pendant les quatre ou cinq premiers kilomètres.

 

Je suis parti vite. Je pensais pas partir à cette allure mais je suis sous (pour les runners) la barre des 5 mn/Km (4mn40 de moyenne). On va rester à cette allure le plus longtemps possible. Je l’avais fait sur le semi de BLAGNAC sur la moitié de la course alors on part pour faire pareil.

 

Le pied commence à chauffer au 6ème kilomètre. Je jure un peu. Je sais comment cela fait quand je ne peux pas poser le pied…Espérons. J’essaye de penser à bouger le pied dans la chaussure. Enfin, il chauffe toujours. Mais la vitesse descend pas. Elle est stable.

 

Fin de la première partie de la course et direction la grande ligne droite le long du canal du Midi. Pas de vent ! Ouf. Car là, s’il avait été présent nous l’aurions eu pleine face. A partir de ce moment, je vais comme d’habitude, me retrouvait tout seul.

 

Petit virage et direction le stade toulousain et le deuxième tour. Je double un petit groupe et j’aperçois mon épouse au 11ème Km, Elle me prend en photo et me demande comment va mon pied. « Il chauffe de plus en plus ». Petite grimace…. de chaque côté.

Mon semi-marathon de TOULOUSE

 

Le ravitaillement est juste après. Un verre pour boire et un pour le pied dans la chaussure. J’essaye de m’arroser la chaussure sans arrêter de courir mais je rate complètement mon coup. Tant pis. Là encore pas bon Manu. Le prochain ravito est dans 5 km. Faut que cela tienne.

 

Contrairement à BLAGNAC, je tente de rester à cette allure. Je termine la première heure de course à 12,7 km/h. Je m’attendais pas à courir comme cela. Alors on continue.

 

Pas de soucis particulier lors du deuxième tour, jusqu’au 17ème km. Le pied s’est mis à chauffer encore plus. « allez accroche toi, il reste 4 kilomètres. » Bizarre de penser cela ? Pas forcément quand on est coureur à pied. Certaines pensées pourraient faire rire beaucoup de personnes qui ne galopent pas. Elles nous prendraient pour des fous !

 

Les messages sur le téléphone, les encouragements sur les applications et ceux des bénévoles et du peu de public font que je tiens. Je félicite et remercie tous les bénévoles que je vois. Sans eux, pas de course. Je le fais avec mon club et je sais combien cela demande. Alors merci à tous et toutes !

 

Dernière ligne droite et direction le Stade Toulousain. Nous nous retrouvons à quelques coureurs espacés de quelques mètres. Chacun s’accroche à celui qui est devant. Nous doublons un coureur qui marche et chacun notre tour nous lui donnons une tape dans le dos pour qu’il s’accroche. Il reste un peu plus de 1 km. Allez !

 

A ce moment là, je me dis que cela fait un petit moment que le pied ne me gène pas. La douleur est là mais ne gène pas tant que çà. Coooool !

 

 

Dernier huit cent mètres. Entrée dans le stade, je dois faire le tour derrière les tribunes avant de faire un tour de la piste du stade avant de franchir la ligne d’arrivée. Il y a plus de monde à cet endroit. Quelques applaudissements.

 

Je regarde la montre et je me surprends avec ce chrono. Je serais forcément sous la barre des 1h45, Yes ! J’ai couru sans penser au chrono. Juste à une allure soutenue (pour moi) et prendre du plaisir à le faire et à montrer le beau maillot de l’asso ! C’est top.

 

Je n’accélère pas et je ralentis même un petit peu pour profiter de l’arrivée.

 

Dernière ligne droite et l’arche est devant moi. J’aperçois mon épouse et le copain juste derrière la ligne. Il ne reste que quelques mètres et comme d’habitude j’envoie un baiser à ma mère là haut. J’entends le bip de la puce qui indique que ma course est terminée.

Mon semi-marathon de TOULOUSE

 

1h43mn26 ! Belle course ! Surtout que le pote me dit qu’il a lui aussi terminé sous le chrono qu’il espérait ! Belle course encore !

 

L’avantage c’est que j’ai pu m’entraîner même sur la course, montrer le combat des enfants et me faire plaisir sur cette épreuve. Que du bonheur. En plus, je transmets mon temps à mon président de club à LACAUNE, sachant que beaucoup de licencié(e)s étaient sur un trail chez nos voisins. La réponse me surprend. Un selfie de tous ceux qui étaient là bas avec lui en disant « bravo on t’embrasse ». Génial ce club ! C’est super de se sentir épaulé. Aussi bien dans la course que pour l’association.

 

Dernier passage sur les réseaux sociaux pour dire que j’ai terminé. Et je vois un bon paquet de notifications. Des encouragements, des bravos. Alors cette fois, c’est à mon tour de vous remercier pour votre soutien !

 

A très bientôt

Mon semi-marathon de TOULOUSE

Trail de la Margeride (Lozère)

J’ai participé au trail de la Margeride 46 kms avec 1500m de dénivelé +, Objectif: le terminer!!!!!!
Départ à 8h30 avec seulement 25 coureurs.
Les 18 premiers kms très roulants jusqu’au mont Mouchet altitude 1500m.
Les 15kms suivant plus techniques et 2 murs nous attendaient au 35 km.
Faux-plat descendant pour terminer cette belle aventure.
Un peu mal aux cuisses mais heureux d’avoir fini.
Au final: 5h26′ 17ème / 25
Janot

Trophée de l’Isard

Dimanche 27 aout trophée de l izard à Hospitalet pres Andorre course de montagne de15,8km pour 1000m +

 

Trois Lacaunais sur la rando et un sur la course.Parcours très technique taillé pour des montagnards comme Cyrille  et non comme moi.Superbes paysages de carte postale ou l ambiance fut superbe du départ au repas après course avec un vainqueur de grand niveau Brice Delsouiller  pour moi je fini 50sur 116 avec une petite chute .

 

Christophe.

Charcu’trail : succès sans précédent

Beau temps, bon support (le club d’athlé donc), innovations, engagement souriant (et compétent puisque nombre sont coureurs eux-mêmes) des bénévoles, soutien des commerçants et de la municipalité ? C’est sûrement un « mix » de tous ses ingrédients qui a conduit au succès considérable de l’édition 2017 : 414 coureurs à l’arrivée. À rajouter une cinquantaine d’enfants qui ont gambadé autour du stade de la Balmette.

Le podium, même vide, avait fière allure avec ses guirlandes de lots, arrangées harmonieusement. Les premiers qui y montèrent furent les plus véloces lors du premier tour de chauffe : un tour complet de stade avant de s’évanouir dans la nature. Résultat : les premiers hommes et femmes des deux « grandes » courses eurent droit à leur taille en saucisse. Et ce jusqu’au bout de la pointe du béret… Quant au coureur médian à « ligne d’arrivée – (moins) un kilomètre », il fut lesté carrément d’un jambon lui permettant de descendre plus vite vers le stade. Nous ne reviendrons pas sur la traversée, habituelle maintenant, d’une charcuterie (Maison Milhau en l’occurrence). Bref des à-côtés originaux qui contribuent, d’une part au succès populaire, et d’autre part qui permettent de ne pas accorder aux performances brutes plus d’intérêt qu’elles ne méritent. Seul bémol, mais aussi le choix le plus facile ou le mieux gérable : la non-traversée du centre-bourg ne permet pas d’impliquer cette animation dans le coeur de la population. L’après-course fut à l’unisson (521 repas tout de même) avec des savoir-faire locaux nouveaux : les pâtes « Marie » et les yaourts Fabre. Et comme toujours une abondante dotation pour les premiers, deuxièmes, troisièmes, etc. Les louanges engloberont aussi les parcours, en particulier le 12 km (mini-trail) encensé par les coureurs échangeant leurs impressions devant le ravitaillement d’arrivée.

Il est à considérer que des Lacaunais ou voisins, bien que novices ou rares sur les compétitions, ont parfaitement tiré leur épingle du jeu : Anthony Di Rinaldo, Jean-Michel Vincent, Frédéric Jougla, Guillaume Fages, Joaquim Luis… liste non exhaustive. Classements à consulter sur ce même site.

Bougnette (6 km) :1.Clément Delbes en 24’07″… 4.Guilhem Rouquette en 27’55… 6.Florent Tichit en 28’25… 10.Eva Nègre (à l’Ecla albigeois maintenant), 1ère fille en 30’01 » (37 arrivants).

Mini-trail  (12 km et des brouettes) : 1.Jérôme Alayrac en 57’59″… 12.Julien Roussaly (1er junior) en 1h03’45 ». 13.Christophe Tichit en 1h04’42″… 26.Hugo Fabre en 1h09’04 » (2J)… 54.Marc Fabre (3M3)… 93.André Suc… 120.Raymond Soucasse (1M4) (212 arrivants).

Charcu’trail (25,5 km) : 1.Maxime Durand en 2h20’08 » (165 arrivants).

 

 

La Raviège : Francis le magnifique

« Magnifique et ombragé » : telle est l’appréciation de Francis (Gil) sur le grand parcours de ce dimanche 13 août. Lui a été plutôt lumineux. Il est vrai qu’il est le régional de l’étape, et a eu son mot à dire (et même plus) pour le tracé initial de cette épreuve née l’an dernier. Sur les 26 km, il a damé le pion à ses homologues lacaunais (Jean Rascol et Dominique Tichit) comme à ses classards (1er M3).

Le petit parcours était annoncé à 10 km. Alors, Christophe (Tichit), adepte des nouvelles technologies, avait programmé sa performance pour 10 000 m. Au-delà, il s’était mis en décélération. Résultat : « Je me suis fait doubler par quatre athlètes sur la fin. Normal : ma montre indique 11,5 km…) Quant à Hugo (Fabre), il aurait fini 1er junior s’il n’y avait pas eu un jeune extra-terrestre (deuxième au scratch). Du côté des vieux (M3), l’extra-terrestre, c’est Édouard (Meiler). À lui seul, il prive Marc (Fabre) et André (Suc) du doublé. Mais il informe que dimanche prochain, il est engagé sur une version de la course cycliste des Jalabert. Et les compères lacaunais y vont de leurs conseils à son endroit : «Mais oui, le vélo, c’est beaucoup moins traumatisant. Et surtout prends garde à ne pas faire la course de trop : vois ce qui est arrivé à ton homologue Usain Bolt… » Pour ces vieilles gloires du club d’athlétisme de Lacaune, à l’inverse de Francis, ce n’est pas le goudron qui est bénéfique pour le repos des pieds, mais bien le tapis rouge qu’ils entrevoient…

Comme le site pour ceux qui ne le connaissaient pas, le parcours a charmé tous les participants. Y compris André qui, en bon insoumis croit bon de rajouter : « Quel dommage qu’il y ait ces 400 mètres de monotrace proches du départ : j’ai dû y faire la chenille. Moi qui suis déjà papillon : à preuve mes grandes envolées …littéraires. Sinon, après partout on peut se lâcher. »

La Salvetat. 10 km

1.Abel Jorissen en 48’11… 5.Laurent Soccol (2M1) en 51’30… 16.Christophe Tichit en 58’26… 22.Hugo Fabre (2J) en 1h00’47… 38.Marc Fabre (2M3) en 1h06’53… 53.André Suc (3M3) en 1h10’54…              (154 arrivants.)

La Salvetat. 26 km

1.David Colomine en 2h07’39… 44.Francis Gil (1M3) en 2h46’40… 50.Jean Rascol en 2h49’00… 66.Dominique Tichit (3M1F) en 2h55’43… (109 partants, à vérifier)

[Voir sur photo (transmise par Édouard Meiler) : Laurent (Soccol) et Hugo (Fabre).]

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Vabre et son accueil chaleureux

Pyrale : (de feu, même racine que pyromane) papillon crépusculaire dont les chenilles sont souvent nuisibles aux cultures. Les Lacaunais, arrivés en ordre dispersé par la verdoyante vallée du Gijou, ont pu s’en rendre compte : les pyrales (si c’est bien ce papillon le coupable) ont fait des ravages dans les bordures caillouteuses et ensoleillées des bois, prés et jardins, semant de longues traînées brunes dans le paysage. C’est pour cela que l’organisateur, ayant sans doute peur que ces chenilles dessèchent aussi les athlètes a préféré les conserver dans la vallée.

Un autre qui a peur que les coureurs se dessèchent, c’est Éric (Cambon). À l’un de ses premiers passages dans le bourg, il lance aux bénévoles : « Donnez-nous des bouteilles : cela s’impose aujourd’hui. À quoi ça sert qu’elles restent en palettes dans un hangar… » Chassez le naturel, il revient au galop : dans son vrai métier, il est le tenancier d’un abreuvoir.

On le sait, lorsque les Lacaunais sont las qu’on prenne leur pays pour la Sibérie, ils lancent des plaisanteries du type : « Oui, comme il grelottait, j’ai donné une couverture à un ours blanc que j’ai croisé à midi, près du casino ». Tout de même, certains montagnards sont soumis plus que d’autres au désagrément d’une excessive chaleur. Notamment ceux qui travaillent dans le froid. Comme les Tichit : Christophe en charcuterie, Dominique au rayon surgelé ou réfrigéré. Une énorme chance, alors que tout le monde recherche un peu de fraîcheur. Et en plus, ils toucheraient un salaire réel : attention à la loi sur la moralisation de la vie publique… Tout ce préambule pour dire que si le soleil darde ses rayons (de bicyclette) pour tout le monde, les Lacaunais sont globalement un peu plus en difficulté que la moyenne. Et l’enthousiasme des supporters Tatiana (Devic) et Sylvère n’a pas suffi à les galvaniser.

Briller : c’est le soleil ou eux. Et ce samedi 29 juillet, ce fut le soleil. Pas d’or, donc pour les Lacaunais. À mettre en exergue cependant : Laurent (Soccol, 6e, mais le top 10 est pour lui d’une banalité…). Et Virginie (Hérail): partie de très loin, elle a soufflé le chaud sur Éric et Christophe. À signaler aussi la seconde jeunesse de Marc (Fabre) qui dame le pion au fiston Hugo (« Bon, avec cette chaleur, je n’ai pas voulu me mettre dans le rouge ») et à son cadet Jean (Rascol), cool au démarrage. Plus loin : « J’ai du mal à réaliser. J’ai tout donné. Je pense avoir atteint un palier. » Celui qui parle ainsi, comme un médaillé olympique, c’est André (Suc). Le palier en question, c’est celui du dessous : plus question de finir dans la première moitié du peloton, mais d’éviter le dernier sixième. Ce que c’est que le poids des ans… et des petits apéros dînatoires estivaux.

À signaler une grande convivialité pour le groupe qui s’est fait un plaisir amical de rester en soirée pour les festivités. Sauf deux ours (polaires) mal léchés (l’un des Vidals, l’autre de Cabannes). Bien entendu, nous ne citerons pas leurs noms. Sans doute étaient-ils indispensables ailleurs ?

La Gijounade (10,8 km en trois tours de circuit)

  1. Yohann Camps en 41’44″…  6.Laurent Soccol en 43’07 » (2M1)…   31.Christophe Tichit en 49’53″…   34.Éric Cambon en 50’21″…   37.Virginie Hérail en 50’38″(2M1F)…   64.Marc Fabre en 57’33 »   65.Hugo Fabre en 58’03 » (3J)   66.Jean Rascol en 58’05″…   88.Dominique Tichit en 1h01’22″…   99.André Suc en 1h03’55″… 121 arrivants.

 

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