10 km de Castres

Les 10 km de CASTRES !

En ce vendredi soir, c’est « jour » de course à CASTRES. Nouvelle épreuve pour les licencié(e)s de l’ACL avec un 10 km au programme.

Chacun aura son objectif ! Chacun sa course mais tous auront le même parcours. L’avantage pour les supporters et notre président venu juste pour encourager.

Honneur aux dames. Enfin à Madame ! Seule Marie G. sera de la partie. Notre athlète féminine internationnale (finisher du marathon de BARCELONE) représentera les licenciées.

Chez les messieurs, nous aurons Yohann, Christophe, Hugo, Jérôme, Manu et son fiston Matthieu. Ce dernier ayant la joie de devoir faire ces 10km en cadeau de son père pour son anniversaire !

Récupération des dossards, toujours aussi rapide. Et place à l’échauffement. Puis la mise en place pour le départ. Cela s’encourage. Les castrais savent maintenant que les lacaunais, même peu nombreux, sont dans la place.

Trois, deux, un partez ! Et les coureurs sont lancés. De suite chacun prend sa foulée et sa cadence. Yohann part…comme une balle. Il est motivé et le chrono doit s’approché des mn à la fin. Objectif annoncé.

Christophe suit à quelques centaines de mètres. Hugo encore un peu plus loin. Marie arrive à son tour. Manu et Matthieu sont plus loin. Presque pas d’objectifs pour eux, si ce n’est montré le maillot de leur association (Imagine For Margo) et faire moins d’une heure cinq. Matthieu n’ayant pas fait plus de 3,5 km depuis longtemps il se sert de Manu comme meneur d’allure.

Deuxième tour pour nos deux « derniers » coureurs, ils voient passer Yohann qui va en finir. Ils l’encouragent au passage. Il passe la ligne en 35mn et 3 secondes ! Trois secondes qui trottent dans la tête de notre coureur qui termine 5ème au scratch mais 3ème dans sa catégorie ! 17,12 km/h de moyenne soit du 3mn 30sec au kil messieurs dames ! Respects !

Puis c’est Christophe qui les double et reçoit lui aussi des encouragements. Franchissement de la ligne en 39mn 29sec. Et à plus de 15km/h de moyenne ! Pfffut ! Des machines ces lacaunais !

Hugo reçoit les encouragements des deux coureurs en maillot bleu et il passe sous l’arche en 40mn et 30 secondes.

Manu et Matthieu passent la ligne pour leur troisième tour et ne voyent pas arriver Marie. Notre licenciée lacaunaise de La Salvetat passe sur la ligne et sous les hourras en 53mn44sec. Bien en dessous du chrono estimé avant la course.

Manque nos deux père et fils. Ils ont pu aider une jeune fille d’un relais le tour précédent mais où sont ils ? Suspens ! Ils arrivent au bout de la ligne droite. Main dans la main le doigt tendu vers le ciel, ils passent la ligne de chronométrage en 1h01mn18sec. Contrat réussi pour eux aussi.

Ravitaillement pour tous maintenant !

Alors que certains vont prendre des calories dans un restaurant, d’autres vont au fast food… d’autres voulant récupérer avant le Brassacatrail vont se coucher !

Bravo à nos coureurs et à nos supporters descendus des montagnes pour encourager nos licencié(e)s !

On est bien partout en fait avec l’ACL !

Labastide-saint-Georges : les fangeux des monts

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Trophée de l’avenir à Lacaune

Samedi 17 mars, l’Athlétic club lacaunais, organisait la 4ème journée du Trophée de l’Avenir réservée aux catégories  » Eveil Athlétique « . 80 jeunes s’étaient donnés rendez-vous pour une rencontre amicale, mais où chacun avait l’intention de prouver aux parents et éducateurs, qu’ils n’étaient pas venus faire du tourisme dans les monts de Lacaune. 3 épreuves individuelles: Le 30m haies, le pentabond et le lancer de poids. Bons résultats de nos jeunes Lacaunais avec Peppa Victoor et Nathan Cazabonne qui obtiennent 13 points suivis de près par Enzo Milhau 12 points. Viennent ensuite, Gabin Rouquette 10 points, Lohanne Théron et  Georges Bertrand 9 points, Maé Joucla termine avec 8 points. A noter un chrono de 7″4 au 30m haies pour Peppa, Nathan et Enzo. Excellentes performances au pentabond de Peppa, 8,20m, les 7,80m de Enzo et les 7,60m de Nathan. Félicitations à tous les 7. Prochaine sortie le samedi 7 avril à Graulhet pour les catégories poussines, poussins.

Marathon médias locaux

Pour ceux qui veulent voir leur bobine (comme s’ils ne la connaissaient pas…) dans le Midi Libre (édition Béziers), après un retard à l’allumage, c’est en illustration d’un article original aujourd’hui, samedi 17, à se procurer même jour. Autre article différent dans « Le Progrès Saint-Affricain » que vous pouvez trouver à Lacaune, Murat et dans le Sud-Aveyron jusqu’à mercredi prochain, et là c’est le même que celui de la Dépêche qui peut se trouver par internet. Le Tarn Libre n’est pas en reste, mais c’était (en présentation du challenge) dans le numéro du vendredi 9 mars. C’est dans la rubrique locale de Lacaune (sauf pour le Midi Libre qui ne va pas au-delà de Moulin-Mage). Maintenant, si vous voulez cinq colonnes à la une, c’est jouable pour la prochaine fois : vous « n’avez qu’à » les gagner ces marathons !

Cross de Saint Juéry

Samedi 10 mars, se disputait à Saint Juéry, le cross départemental des écoles d’athlétisme. 4 courses au programme de l’après-midi. Un soleil radieux, une pelouse idéale ont fait de cette manifestation, une réussite pour tous ces jeunes venus des 4 coins du département. Présence de 4 Lacaunais dans la 1ère course réservée aux Eveil athlétique garçons et la 27ème place de Nathan Cazabonne suivi de Gabin Rouquette, Georges Bertrand et Maé Joucla. Chez les filles, Lohanne Théron termine à la 64ème place. Dans la catégorie Poussines, 43ème place de Jade Joucla suivie de Manon Fabrès. Pas de podium pour nos couleurs, mais une présence qui fait honneur aux couleurs de l’ACL. Bravo les petits. Prochaine étape de nos plus jeunes ce samedi 17 mars, à l’occasion de la 4ème journée du Trophée de l’Avenir à Lacaune.

ZURICH MARATO BARCELONA 2018

L’ACL et le 40ème Marathon de BARCELONE

Avant de débuter cet article, je vous précise qu’il sera long. Aiguillé d’une vidéo, mais il sera long. Pourtant je suis certain qu’après sa publication j’aurais oublié des choses tellement ce week-end a été fort en souvenirs et expérience humaine ! Mais je vais tenter… Alors allons-y et retournons quelques jours en arrière pour vivre ce marathon de BARCELONE 2018 !

Tout commence, entraînement mis à part, pour les coureurs et les accompagnants le samedi matin 10 mars 2018. Pour notre président, Ricou, cela a commencé depuis des mois pour préparer ce qui permettra à l’AC LACAUNE d’avoir des athlètes internationaux le dimanche après-midi. Mais nous y reviendrons !

Retour au samedi matin. Rendez-vous fixé à 08h00. L’ambiance est déjà au top. Elle ne descendra jamais autant le dire tout de suite. 08H30 Départ en bus direction LA SALVETAT pour récupérer nos licenciés demeurant de l’autre côté de la montagne. Puis c’est le départ vers l’ESPAGNE avec une halte pour récupérer notre benjamine à NARBONNE. Chose faite, Georges -notre chauffeur- s’engage sur l’autoroute et direction la frontière.

Repas pris sur le bord de l’autoroute. L’ACL réquisitionne les tables de l’aire de repos afin de se faire un casse-croûte, pâtes à la niçoise (comme le dernier marathon du club) ou à la piémontaise, jambon de Lacaune (forcément), blanc etc… et le bus repart. Le soleil est là, la chaleur monte. Chose bizarre le café derrière nous lors du repas est le café de Rome… Notre prochain marathon en club ? Affaire à suivre…

En début d’après-midi nous entrons dans BARCELONE. La température affichée dans le bus annonce 24°. Nous passons devant le lieu qui servira le lendemain au départ et à l’arrivée. Descente vers le port et arrêt du voyage motorisé. A pied, nos lacaunais (et salvetois) prennent la direction de l’hôtel. Installation dans les chambres et il faut repartir chercher les dossards. Sans dossard pas de course. Alors les coureurs se pressent. Ils prennent quand même le temps de lever la tête et de voir les beautés de BARCELONE.

Avant l’entrée dans l’endroit mythique de ce marathon de Barcelone. Sa ligne droite de départ et d’arrivée Placa d’Espanya. Photos obligatoires. Photos aussi des 17 marathonien(ne)s pour l’Histoire ! Mais pas que ! Publications sur les réseaux sociaux, envoi à la famille et maintenant place aux dossards. Il y a environ 18 000 inscrits à l’édition 2018 et pourtant : 17 dossards récupérés en moins de trois minutes ! Super efficacité des bénévoles.

Un grand panneau, qui devait être blanc à la base, permet d’inscrire « AC LACAUNE » en haut et bien en vue forcément.

Visite du parc des expos, des stands des différentes marques et produits autour du running. Il y en a partout. Et enfin, la récupération du tee-shirt de la 40ème édition. Autant vous dire franchement que les barcelonais et les autres personnes visitant le marché du marathon ont vu et entendu les membres de l’ACL. L’ambiance est toujours là.

Enchaînement avec la visite des lieux autour du parc des expos. Endroits superbes, jets d’eau, etc… sous le soleil et avec une température estivale. Très belle ville.

Et retour vers l’hôtel pour certains pendant que d’autres vont voir la montagne surplombant la capitale catalane. Dépôt du sac à dos donné par l’organisation et on continue la visite de Barcelone.

Les remblas sont vus. Lieu de l’attentat du 17 août, cet endroit est rempli d’une foule immense. Un arrêt dans un café local. Une boisson pour éviter la déshydratation après de longues minutes dans le bus et de marche afin de voir ces beaux endroits.

Puis direction le marché où se trouve notre restaurant. Au menu : Paëlla ! Végétarienne, aux fruits de mer, au porc et champignons , tout est bon. Délicieux ! On recommande tous ! L’ambiance est toujours et encore là. Nous avons droit à quelques personnes venant jouer de la musique… Puis Manu se lève et commence à chanter. Une chanson à texte a t’il dit… Jusqu’à l’éclat de rires général. Nous doutons qu’elle soit un jour apprise dans les écoles. Le repas continue interrompu par la venue d’un nouvel accordéoniste. Alors Manu se relève et nous avons droit à un BOOGIE WOOGIE façon Eddy Mitchell plus académique que le premier morceau. Cela aura trois répercussions. La première l’ambiance des lacaunais est encore montée d’un cran, l’accordéoniste est parti, et maintenant il pleut (véridique) !

Le repas se termine et il est temps de prendre quelques heures de sommeil afin d’être prêt pour la course du lendemain.

Enfin c’est ce que croyaient nos lacaunais. En effet, la nuit Barcelone vit… bruyamment. Entre les jeunes fêtards criant dans la rue et les « habitants temporaires » de l’hôtel écoutant la télévision un peu forte. Mais ils ont pu se reposer un peu.

06h00 en ce dimanche jour de course ! Levée et petit-déjeuner dans la salle de restauration de l’hôtel. Mais les ingrédients viennent tous de Lacaune. Notre président a tout prévu vous disais-je au début de cet article !

Dernières photos devant l’hôtel et direction à pied vers le départ. Un peu plus d’un kilomètre et demi de marche (échauffement gratuit) et l’ACL rejoint les autres participants de la course. Placement dans le SAS des 3h45/04h00 pour tous et toutes !

A peine entrés, les lacaunais font du bruit avec une belle chanson pour Domi qui fête son anniversaire. Un joyeux anniversaire chanté à l’unisson et repris par certains participants avant qu’un grand applaudissement provenant du SAS où nous sommes et celui de derrière, vienne conclure ce chant ! Grand moment !

Ça y est, l’heure du départ s’approche. Le stress monte. Chacun le surmonte à sa façon mais toujours en groupe. Pourtant les objectifs de chacun varient. Allant de trois trente à quatre heures trente mais l’AC LACAUNE prendra le départ ensemble. Regroupement, une ronde se fait et un « qui ne saute pas n’est pas lacaunais » se fait entendre dans le ciel barcelonais !

08h30 les élites prennent le départ. L’ACL est encore à deux cents mètres du départ. Le SAS des 3h45 avance de cent mètres. Il est pile dans la ligne droite. Mais en haut de la rue. Les 3h30/3h45 prennent leur départ.

La musique change, l’ambiance dans le SAS devient électriquement joyeuse. Chair de poule puissante. Tremblements. Vivement que çà parte. Dernier déplacement avant le lancement de l’épreuve pour nos coureurs. Pffffut que c’est bon ! Grand moment là encore. On s’encourage, cela filme et un check collectif et il va vraiment falloir y aller !

Passage en musique « samba de janeiro » sous l’arche, feu d’artifice et confettis géants lâchent nos licencié(e)s dans les rues ! Ils sont pas les seuls mais nous nous intéresserons qu’à eux !

Nous ne pourrons pas parler de leurs parcours à tous et toutes mais ils ont vécu une chose en commun, hormis la visite superbe de la ville, c’est : L’ambiance de folie qui est sur le bord du parcours. Entre les gens qui applaudissent, crient, chantent c’est une ambiance vraiment énorme. Les groupes de musique vont aussi motivés les coureurs pratiquement tout au long de l’épreuve.

Et que dire des accompagnants de l’ACL ! Armé(e)s de sifflets, de cloches et de toutes leurs ondes positives, ils ont encouragé les lacaunais en plusieurs endroits du parcours. Les cloches indiquant aux coureurs qu’ils allaient entendre leur prénom scandé (en français cette fois) et prendre une bonne dose de force ! De supers moments pour tous et toutes !

Au semi marathon les chronos sont les suivants : Christophe 1h38, Christian 1h51, Ricou 1h52, Virginie 1h52, Jérôme 1h53, Manu 1h58, Francis 1h58, Domi 1h59, Mégane 2h02, Hubert 2h02, Maria 2h03, Tatiana 02h05, Marie 2h07, André 2h06, Yolande 02h09, Sonia 2h09 et Véronique 2h09. La moitié est faite et pas de bobo ! Que cela continue. La chaleur monte un peu et des rafales de vent se font sentir par moments mais tout le monde est là.

Si la deuxième partie se passe « bien » pour certains (la plupart) certains ont dû mal. Des douleurs non prévues à l’entraînement viennent gêner nos marathoniens. Mégane, Manu, Tatiana et Marie ont mal mais ils ne lâchent rien. Personne ne lâche en fait. L’esprit du runner et ACL mélangés.

Chacun va chercher des réserves qu’elles soient physiques ou morales (voir les deux) afin de terminer ce marathon. En aidant les autres quand ils se doublent où se voient.

Les accompagnants non plus ne lâchent rien et encouragent tant qu’ils peuvent nos coureurs. Ils se sont donnés eux aussi et n’ont rien lâché. Ils ne se sont pas économisés et font de nombreux kilomètres pour être sur tout le parcours !

Dernière montée et virage à gauche : la vision attendue par tous : L’arche d’arrivée ! Christophe premier lacaunais aura des crampes juste avant et ne pourra finir qu’une fois la « crise » terminée. Et

Christophe passe la ligne en 3h28, Christian 3h48, Jérôme 3h49, Virginie 3h50, Ricou 3h50, Francis 4h02, Dominique 4h08, Maria 4h14, Sonia 4h15, Véro 4h15, André 4h16, Yolande 4h20, Hubert 4h20, Tatiana 4h29, Manu 4h29, Mégane 4h30, Marie 4h32. Toutes et tous : finishers !

Notre président est fier mais il respire ! Pas de blessé, pas de personne à aller chercher à l’hôpital, personne à prévenir. Tous ont des douleurs mais tous sont là, porteurs de la médaille de Finisher en ce dimanche 11 mars 2018 !

L’Athlétic club de Lacaune vient de faire, en un peu plus quatre heures trente, 17 athlètes internationaux ! Fatigué(e)s mais Fier(e)s. Tout comme leurs soutiens présents, familiaux, réseaux sociaux pour certain. Et que dire de Ricou. Il félicite tout le monde. Accolades et encore accolades, larmes et encore larmes. Le temps de reprendre ses esprits et de faire les photos qui s’imposent, revoilà nos lacaunais battre le pavé en direction du bus. Ils en profitent pour encourager chaque coureur qu’ils croisent pour les aider à finir leur course. Une motivation pour ceux et celles qui n’ont pas encore passé la ligne d’arrivée.

Montée dans le bus… Enfin ! Qu’il était garé loin ce bus ! Mais une fois à l’intérieur, il est temps de regarder les bobos. Ampoules, échauffements, le bonheur du marathonien !

Passage de la frontière et quelques kilomètres après c’est champagne ! Des choses à fêter ! L’anniversaire de Dominique et ensuite les premiers marathons de Dominique, Véronique et Christophe ! Bravo à nos trois nouveaux marathoniens et bienvenus à eux dans le monde des finishers !

Champagne = chansons ! Alors à la demande générale Manu ressort sa chanson à texte pour que tout le monde puisse enregistrer le plus possible ses paroles… et filmer par la même occasion.

Notre Président prend ensuite la parole : remercie, dit sa fierté qu’il a de ce club, de ces personnes et qu’il est heureux pour tout le monde. Tonnerre d’applaudissements. André enchaîne et dans un laïus dont il est le seul à avoir le secret. L’homme aux 366 courses remercie au nom de lui même et de tous Eric pour un nouveau week-end (après celui de Nice) sans défaut !

Maintenant retour sur les monts de Lacaune. Puis le temps change. Certaines personnes diront que, dès qu’il chante, Manu a le pouvoir de changer le climat etc… et il pleut. Jusqu’au moment où la route devient blanche couverte de grêle. Obligeant notre chauffeur à ralentir et casser notre moyenne pendant que certaines personnes nous parlent et nous vantent les belles routes de leur département. Mais heureusement cela s’arrête et Georges reprend notre vitesse de croisière. Dépôt de nos héraultais puis l’arrivée à LACAUNE. Plus de célibataire géographique. Tout le monde rejoint les siens et le week-end se termine une fois les sacs posés à la maison et la douche prise.
Quelle aventure ! Quel club ! Désolé de vous le dire à chaque article mais c’est le cas ! Une famille sur les routes ou chemins durant les courses et entraînements mais aussi en dehors ! Bravo à nos finishers, bravo aux accompagnants pour leur aide et soutien, bravo à Georges de nous amener en sécurité comme il le fait et supporter le bruit incessant dans le bus et enfin : un GRAND MERCI à notre Président qui nous permet de vivre des moments comme ceux là !

Comme dirait Ricou : « On est pas bien là ? ». Nous on voudrait pas être ailleurs qu’à l’ACL !

RESULTATS

VIDEO SOUVENIR

Los athlétos font l’Espagne

À l’occasion du marathon de Barcelone, c’est une mémorable excursion qu’ont fait 17 athlètes du club en terre catalane, les samedi 10 et dimanche 11 mars. Deux jours passés sous la coupe de RTT (« Ricou Tours Travel »), cela ne s’oublie jamais. « On n’est pas bien, là ? » était le leitmotiv. Et pourtant ils sont revenus…

La détente

Lacaune, 10 mars à 8 h, bar Icou. C’est l’ébullition : le consommateur tranquille qui vient pour consulter le journal en sera pour ses frais. Tout baigne : coureurs et supporters sont prêts. Petite escale à la Salvetat-city : famille Gil et consorts sont impatients d’être sur le terrain. Voyage sans histoire ponctué d’un arrêt buffet sur une quelconque aire : le supermarché est dans la soute du car. Et enfin, c’est l’entrée triomphale dans Barcelone, la ville sang et or. Pour mélanger ces couleurs, Georges, le chauffeur de l’entreprise Maury, a trouvé la bonne teinte sur les boulevards : le orange.

Descente de car : supporters, athlètes (si, si), sacs perso et buffet se retrouvent prestement à l’hôtel Coronado. Installation dans les chambres : « 506, lit màtrimoniàl », annonce le réceptionniste. « Pocco importà », répond le jeffe Éric Cambon. Ainsi, les doyens Francis Gil et André Suc, plus modernes que l’on n’eût cru, vont unir leur destinée. Pour une nuit ou peut-être plus… Mais, plus malins aussi que l’on n’eût cru, ils vont trouver une solution à lits individuels. Tandis que d’autres, sans descendre sur le pavé, vont profiter de la fiesta des nuits espagnoles en laissant la fenêtre ouverte. Mais n’anticipons pas : on est athlètes ou on ne l’est pas. D’abord, c’est le retrait du dossard, dans un palais des congrès transformé pour l’occasion en supermarché spécialisé. Là, le chef s’occupe de tout.

Oui, on est athlètes ou on ne l’est pas. Alors, quand Christian Bardy (supporter) veut faire partager sa connaissance de la ville par une promenade vers la colline de Montjuich, il frise le fiasco : pas un mètre de trop… Pourtant, c’est en talons hauts que Ghislaine Hérail, vénérable supportrice, fait son entrée sur le stade olympique, dans le sillage de Marie-Josée Pérec qui enflamma le monde ici-même, lors de Jeux Olympiques de 1992. Et plus encore que le tartan, c’est une descente en chaise à porteurs, ou plutôt en bras porteurs, qu’entreprendra Ghislaine : truffé de racines et de murettes à effacer, Christian venait d’inventer le Barcelona trail. Retour au niveau de la mer, non sans avoir jeté un oeil sur le bal-fiesta des bomberos (pompiers). Et le petit groupe rejoint le gros des athlètes, dans un café proche de la colonne de Colomb. C’est sûr, ceux-là ne vont rien lâcher, promis juré : déjà, ils s’accrochent ferme à l’anse de leur formidable…

« Bon, vous avez un quart d’heure pour faire vos emplettes au marché » (plus ou moins couvert). Le chef pense à tout, même à notre portefeuille : passé 19 heures, les 3/4 des boutiques ont fermé. Ensuite, en bordure de marché, c’est le restaurant testé une semaine avant par Ricou et fils. Bonne pioche : la paella était savoureuse. Le patron, ravi d’accueillir d’un coup 30 consommateurs débouche à tour de bras du vin, celui des noces et des festins. Celui qui fait chanter aussi. Et ainsi, si Johnny a disparu (mais heureusement pas son héritage), c’est Eddy qui prend la relève. Non, non, non, pas de boogie-woogie avant le marathon du lendemain…

 

Et le dimanche justement, c’était l’épreuve de vérité, après un petit-déjeuner comme au café Ricou. Pas de stress : le timing pour rejoindre la ligne de départ était très bon. Jusque-là, le chef s’était occupé de tout. Maintenant, chacun était face à son destin pour environ quatre heures. Satisfaction énorme : 17 au départ, et 17 à l’arrivée. Mais quand tout va bien, où est le mérite ? Aussi bien, signalons le courage de ceux qui ont terminé laborieusement : Emmanuel Rodier, Tatiana Devic, Hubert Taru… Ou encore la meilleure chance des Lacaunais, Christophe Tichit, un peu émoussé par la remontada des premiers kilomètres (le groupe avait choisi un sas médian à 3 h 45 mn), qui a été perclus de crampes à quelques encablures de l’arrivée. À l’inverse, signalons la bonne tenue des vétérans 3 Christian Molinié et Francis Gil, respectivement le plus Vabrais et le plus Salvetois des Lacaunais.

Les dames sur le pavois

Si Virginie Hérail, bien secondée par son aide de camp, reste la meilleure féminine devant Dominique Tichit, il convient de mettre en exergue la performance des belles-soeurs Bardy, Sonia, comme Véronique (novice, comme Dominique, sur la distance). Non seulement leur performance (4 h 15 mn) est encourageante. Mais un autre élément, plus important, conforte cet éclairage. Sur le second semi-marathon comparé au premier, là où leurs contemporains mettent en moyenne dix minutes de plus, elles ont mis 2 minutes et 30 secondes de moins. Pas étonnant que le Lacaunais moyen soit fatigué de les voir s’entraîner…

En catégorie, c’est Yolande Culié qui performe : 39e. Sachant que 2018 est l’année de ses 60 ans, qu’à ce qu’en disent les gens mûrs le poids des années compte double à cet âge-là, et que cette catégorie à Barcelone commence à 55 ans, la distinction n’en est que plus éclatante. Et surtout, retenons la performance d’ensemble : bravo à tous. Et doublement aux primo-marathoniens : les Tichit, Jérôme Gasparoux (habitué à des distances plus longues, comme à Volvic, sept jours plus tôt), Yolande, et donc Véronique.

Les supporteurs

Ils ont été omniprésents, se dédoublant, se multipliant sur le parcours : Francis Culié et sa perruque, Didier Bardy et sa cloche des alpages, Annie Molinié, Silvère Assié, Laurie Taru, Sandrine de chez Gasparoux, Aymeric du Gers, Christian Bardy, Ghislaine Hérail, Fanny Culié ert Sébastien « Bombero ». Mais les coureurs ont été aussi sensibles aux supporters catalans, ceux qui scandaient leurs prénoms : « Allez Tarou, bravo Souc, Vive Bardy… » Quant à Jean-Jacques Jacquier, il s’est évertué à trouver de nouvelles méthodes de coaching : « Lève la tête, soulève tes pieds, bouge ton… » Cette nouvelle pratique nous semble intéressante mais, avant de la pratiquer, nous attendrons cependant qu’elle fasse ses preuves auprès d’un panel plus large… Bien que le même supporter soit un grand pédagogue : ainsi, il expliqua à l’ensemble des voyageurs qu’après avoir recueilli l’information, il savait ce que voulait dire ce symbole jaune, ressemblant à l’emblème rouge du sidaction (soit la moitié supérieure de ce caractère : &) : « Cela symbolise la liberté ». Ce symbole d’indépendance était peint à foison sur tout le parcours. Il n’est pas sûr que, sur la forme et le fond, les marathoniens catalans, espagnols, et même s’il se doivent d’être plus réservés, les nombreux étrangers, aient apprécié cette initiative. Sachant que le sport populaire se doit d’être, par nature, un vecteur d’union et non de division.

Et tout ce petit monde, 30 personnes tout de même fut ravi de se retrouver pour parcourir (salutaire décrassage pour athlètes fourbus) les trois kilomètres qui les séparaient du garage de l’autocar. Près duquel attendait Georges le conducteur. Il est permis d’apporter un éclairage flatteur sur sa conduite, son comportement et sa souplesse. Il est vrai que c’est le chauffeur des stars, si l’on en croit les nombreuses photos dont les athlètes lacaunais ont fait l’objet.

Eh bien, nous sommes prêts à recommencer le week-end prochain…. Ah non ? Et pourquoi ? — Dans deux ans, à Rome. C’est Ricou qui l’a dit.  –Mais pourquoi nous fait-il languir ainsi ? Et où fêterons-nous les 48 ans de Domi, s’il vous plaît ?

Les classements (42,195 km)

1er Maritim Anthony en 2 h 08′ 07″ (il n’est pas de Lacaune). 2491. Christophe Tichit en 3h28’27 »  …5016.Christian Molinié en 3h48’02″…5324.Jérôme Gasparoux en 3h49’58 »  …5422. Virginie Hérail en 3h50’42 » …5435.Éric Cambon en 3h50’49 » …7221.Francis Gil en 4h02’10 » …8057.Dominique Tichit en 4h08’14 » …8785.Maria Jacquier en 4h14’05 » …8972.Sonia et 8973 Véronique Bardy en 4h15’32 » …9138.André Suc en 4h16’57 » …9502.Hubert Taru en 4h20’15 » …9580.Yolande Culié en 4h20’56 » …10509.Tatiana Devic en 4h29’32 » et 10510.Emmanuel Rodier en 4h29’33 » …10562.Mégane Gil en 4h30’02 » ….10767.Marie Gil en 4h32’08 ».

Black Moutain

Deux missionnaires lacaunais engagés sur le 18km qui se limite à l’ascencion (avant Paques?) du pic de Nore (véritable chemin de croix qui n’a rien à envier à ce qui nous attend, dans un mois du coté du couvent d’Ouillats) et une descente de 9km…Bénédictions (encouragements) traditionnelles par les admirateurs(trices) massés au sommet sur un parterre immaculé blanc dans un décor de neige (éternelle?)…Descente vers la croix de la Roque ou l’ on apercoit le clocher de St Amans…Arrivée  sur le parvis avec un dernier « mur » de 100mètres…Pas de quoi se lamenter…(pas de crampe,contracture,entorse,…)…Place aux réjouissances d’aprés course dans un esprit de communion fraternelle avec tous les participants…Soupe-saucisse-bougnette-fromage…bière…

Pas de protestant à l’arrivée (je crois…) malgré une erreur d’orientation sur le 33km pour les 7 premiers…avec entre autre Maxime (Durand) qui était en tête…

Pélerinage à re-éditer en esperant avoir de nombreux disciples de l ACL….

 

 

Quelques chiffres

Sur le 18km…Hugo – 102 – 2H07’08 » 5ESH/12 (grosse concurrence)

Marc – 153 – 2H12’03 » 2M3H/9 (à 40″ » du premier…lacet à refaire à 1,5km de l’arrivée)

674 classés /781

 

Sur le 33km…Laurent – 6 – 3H37’47″ » 3M1H

Mathilde – 236 – 5H09’57 »   1ESF (notre championne féminine espoir)

488 classes/508

 

MARC 2018

Ultra Vulcain

Ultra vulcain

Samedi matin, départ pour Volvic avec deux accompagnatrices de choix Sandrine et Elisa l’invitée surprise. Après un voyage plus long que prévu, arrivée à destination et récupération du dossard sous un soleil radieux.. Enfin de courte durée.. Nous rentrons à l’hôtel sous la pluie suite à une lumineuse idée de Sandrine  de récupérer  le dossard en mode marche. Après une très bonne nuit de sommeil , enfin pour moi (les filles ont apparemment mal dormi suite paraît-il à des ronflements intempestifs.. Franchement rien entendu), départ 6h pour ces 73km avec musique et fumigènes. Tactique habituelle, je pars en fin de peloton pour remonter tranquillement et ménager ma monture. Après 10 km et quelques arrêts au petit coin(j’entends Marie me dire : t’as pas des chiottes chez toi !!), je repars le cœur léger et le plaisir de courir sans serrer les fesses. Le terrain est essentiellement boueux et très glissant et dès la première descente je commence à doubler pas mal de monde. J’assiste à un festival de gamelle et une panique générale où tout le monde s’accroche à ce qu’il trouve pour ne pas chuter. Et oui, les descentes, ça se travaille,  ça s’attaque et il ne faut pas les subir ! Premier ravito au 20 ème où je pointe à la 317 ème place.. Va s’en suivre de longues pistes de faux plat pas très jolies avant l’ascension du Puy de dôme. Pour une fois, il ne sera pas dans le brouillard et va nous offrir de magnifiques points de vue. Redescente et retour au ravito du 47 ème.. Je continue à doubler tranquillement et je pointe en 251 ème position malgré un petit détour de 1 km avec des compagnons de route également étourdis . Il reste encore 26 km avec quelques coups de cul et évidemment la bouillasse. Une fin de course qui va se passer sans problèmes particuliers malgré une certaine lassitude de courir avec 2 kilos de boue à chaque pied… On met le cerveau sur off et on avance avec le plaisir quand même de doubler les coureurs du 47 km ! Ça motive un max ! Après 10h20 de course, je passe la ligne d’arrivée à ma grande surprise en 163 ème position . Content de cette première course de l’année,  je ne regrette pas les entraînements galère dans 30 centimètres de neige fraîche, le travail a payé pour me sortir de se bourbier ! Place au repos maintenant.. Paraît-il qu’il y aurait un marathon dimanche !!!! Encore merci à ma petite famille pour son soutien et je suis fier d’avoir représenter le club.
Jérome 2018

De Lacaune à Barcelone : des athlètes …internationaux

Photo n°1 : Les éclaireurs ; n°2 : En mouvement ; n°3 : Dimanche 18 février 2018

Photo de fin d’article : Lola (épagneul) marathonienne

Reconnaissons que, pour les 17 coureurs du club d’athlétisme de Lacaune qui vont acquérir ce statut ce dimanche 11 mars, s’ils le méritent, c’est plus grâce à leur travail qu’à leur classe pure.

En effet, au courant, c’est une préparation de trois mois à raison de trois entraînements par semaine. Dont celui, collectif, du dimanche sur deux heures ou plus qui leur a permis de « visiter », en général au départ de Lacaune, le bourg de Gijounet, les calades de Murasson, le lac du Laouzas… Ou encore, comme sur la photo, la plage de Rieumontagné au départ du rond-point de la Trivalle. Et là – surprise ! – au demi-tour ce sont les quinquagénaires Maria Jacquier, Hubert Taru et Yolande Culié qui déclarent à la cantonade : « Bon, vous nous rattraperez plus loin : on doit faire des accélérations ». De quoi méduser (temporairement) les jeunes de 25 ans Tatiana Devic et Mégane Gil. Au retour, après le village de Nages, le peloton cependant explose, et s’étire enfin sur des kilomètres, derrière les foulées déliées de Christophe Tichit et Éric Cambon.

Ce dernier, président de l’Athlétic-club lacaunais, revient sur ce choix du marathon de Barcelone : « Au marathon de Nice-Cannes de 2016, Véronique Bardy, inscrite, n’a finalement pu participer à l’épreuve, car blessée. Elle avait tenu néanmoins à venir, pour encourager le groupe. Cela méritait une seconde chance, non ? » Et Éric n’a pas lésiné sur l’encadrement : jusqu’à se programmer un week-end de reconnaissance sur place afin de pouvoir amener le 16 autres sociétaires – plus familiers des ruelles de la Salvetat, Murasson, Vabre ou Lacaune que des ramblas – les yeux fermés sur la ligne de départ. Parmi eux, nombreux sont-ils à découvrir cette distance mythique de 42 kilomètres. Ensuite, ce sera tout de même à eux de se livrer, de « tout donner, rien lâcher ». Quatre heures durant ; ou plus, ou moins si affinités. Dès le portique d’arrivée franchi par chacun,  Éric, de l’agence Ricou-tours, reprendra la main pour assurer le retour au bercail.

Mieux : le lendemain, lundi soir, il a programmé une séance de remise en forme (spa, sauna) au Centre local des Sources chaudes. De façon à recommencer bientôt, fraîcheur retrouvée ? « Oui, certains courent en compétition tous les dimanches, ou presque… Pour la grosse sortie club suivante ? Je pense au marathon de Paris. Mais en 2020. » Chiche !

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