Ronde Aiguefondaise

Compte-rendu Ronde Aiguefondaise- Piste du Dolmen

 

Ronde Aiguefondaise- Piste du Dolmen…Que choisir?

Tout dans la vie est une affaire de choix, du premier au dernier jour (chêne ou sapin).

Mais que choisir?

Sucré ou salé – Fromage ou dessert – L’aile ou la cuisse – Une brune ou une blonde (la bière chez Ricou!)….

Ce dimanche 07 avril, la moitié environ des inscriptions ont été effectuées dans la dernière heure (88/192)…Le « trailer » serait-il un sportif indécis face au choix, assaillit par le doute?

8 ou 20 km?

La plupart des suffrages se portent sur le 8 km aprés avoir controlé les listes des inscrits et avec des justifications suspectes…J’ai pu dormir une heure de plus, j’ ai un problème musculaire,

j’ai un repas de famille, je me préserve pour le brassacatrail, je m’entraine pour l’aubrac…

Résultat: sur le 8 km 104 inscrits – sur le 20 km 88 inscrits

 

Piste du Dolmen  20 km                                                                       Ronde Aiguefondaise  8 Km

 

1 – BARTHES Romain   1H36’06 »  1SEM                                        1 – MAS  Nicolas         34’35 »   1SEM

2 – SOCCOL Laurent     1H39’25 »  1V1M                                       7 – FABRE Hugo          38’26 »   1ESM

59 – GIL Françis           2H22’30 »  2V3M                                       8 – SUC Jean-Philippe  38’27 »  1V2M

63 – DEVIC Tatiana      2H25’37 »  2SEF                                       31 – FABRE Marc           44’39 » 2V3M

 

Et toujours pour finir l’ ultime choix…Le demi…Nature ou Pêche ?

 

A+ Marc

Trail de Nuces

Dimanche 24 Mars, avait lieu le travail de Nuces, où deux formats étaient proposés : un 17 km et un 10km.  C’est sur ce format de 10 km avec 280m de dénivelé positif que j’ai décidé de m’aligner. Il fait chaud, le départ est donné à 10h30. Coté classement, une troisième place, loin derrière le vainqueur du jour Nicolas Cantagrel, récent 13ème(et 3ème français !) de la verticale de la tour Eiffel.

1 : Nicolas CANTAGREL : 38’56’’

2 : Vincent BOUZAT : 40’04’’

3 : Bastien AMALRIC : 41’45

4 : Emmanuel SALAT : 42’40’’

203 Arrivants.

BASTIEN

Challenge départemental poussin

Il en fallait du courage pour participer à cette 3ème journée du challenge départemental réservée aux poussines, poussins. Un temps hivernal, du vent, de la pluie et malgré tout, la présence de nos 4 représentants sur le stade de Carmaux, avec 4 épreuves au menu de l’après-midi: Le 50m, le saut en longueur, le lancer de javelot et le 1000m. Meilleur total chez les filles avec 50 points pour Peppa Victoor et 38 points pour Jade Boudou. Chez les garçons, 42 points pour Nathan Cazabonne et 19 points pour Aimé Alliès. A noter les 4’39″3 de Peppa, les 4’06″0 de Nathan sur le 1000m et les 8″8 de Jade sur 50m. Un grand bravo à tous les 4. Samedi 13 avril, déplacement des  » Eveil athlétique  » à Aussillon pour la suite du Trophée de l’Avenir et le lendemain dimanche 14, sortie des benjamins pour la 2ème journée de brassage.

10 km de CASTRES

Chaque seconde compte…

On le sait, les 10km de Castres, c’est pour faire un bon chrono. Cette course a également le label FFA, qualificative pour les championnats de France (et fait accessoirement partie du Challenge du Haut Languedoc). Il y a très exactement 68m de dénivelé positif, autant dire que les côtes sont assez douces.

Départ du relais et du 10km solo à 20H30, toujours très rapide. Un petit vent nous chatouille mais au moins pas de pluie. Nos 3 tours se font en plein centre ville, ce qui permet aux piétons (et même aux voitures) d’encourager tout le monde et de ne pas s’ennuyer.

Qui dit tours, dit que les meilleurs arrivent à doubler les derniers ; d’autant plus que qu’avec les relais, on ne sait plus qui fait quoi !

Arrivée de ce « footing » pour tout le monde et retour chez soi dans la nuit.

A noter la première place en équipe de Maxime Fabre et le super chrono du jeune Guilhem Rouquette.

Résultat :

Solo : 614 coureurs

Bastien AMALRIC :                         36’40’’ (17ème Sénior)

Guilhem ROUQUETTE :                                36’49’’ (3ème Junior)

Antoine AZAM :                              38’37’’ (3ème Cadet)

Christophe TICHIT :                        40’03’’ (19ème V1)

Jimmy ROUQUETTE :                     40’18’’ (50ème Sénior)

Hugo FABRE :                                    40’29’’ (3ème Espoir)

Anthony DI RINALDO :                  40’34’’ (6ème Junior)

Jérôme GASPAROUX :                  43’32’’ (46ème V1)

Eva NEGRE :                                      46’35’’ (2ème Junior)

Marc FABRE :                                    47’30’’ (8ème V3)

Francis GIL :                                       50’34’’ (11ème V3)

Christine ROUSSET :                       51’55’’ (16ème V1)

Véronique CALAS :                         54’08’’ (26ème V1)

 

Relais : 98 équipes

1er : Crochets Pezet Grillage en 34’45’’

Maxime Fabre : 9’51’’ – 12’28’’ – 12’26’’

19ème : Les Gens bons contents en 42’44’’ (6ème par catégorie)

Silvère : 13’04’’ – Tatiana : 15’04’’ – Eric : 14’30’’ (la distance fluctue légèrement entre les 3 tours)

 

Hugo

Journée brassage à Carmaux

Samedi 30 mars, se déroulait à Carmaux, la 1ère journée de brassage des catégories benjamins, minimes. Présence de notre seul Lacaunais, Emilien Vergely qui avait choisi 3 épreuves: Le 50m, le saut en longueur et le lancer de javelot. Performances honorables de notre représentant qui effectuait sa 1ère compétition officielle. 9″01 au 50m, 3,52m à la longueur et 13,07m au javelot. Bravo Emilien. Etape suivante lors de la 2ème journée de brassage qui aura lieu à Castres, le dimanche 14 avril. Prochaine sortie des poussines, poussins, samedi 6 avril à Lavaur pour la 3ème journée du challenge départemental.

À Montauban, montre-leur qui tu es !

Marathon de Montauban, édition 12. Jusque là, André Suc n’avait pas une réputation de fier-à-bras. Bien au contraire : un tantinet effacé. Oui mais ça, c’était avant. Avant le 31 mars 2019.

Un excellent entraînement

Dans une logique de préparation pour les 24 heures de Brive, il est des 300 inscrits solo qui repartent pour un deuxième tour. Il est venu pour un entraînement de qualité, autour de 4 h 15 mn. Deux heures plus tôt, il cherchait « son » meneur d’allure. Flûte, il n’y en a pas pour ce délai… Bon, voyons ce qui reste… Du jaune ? Non, j’en veux pas… Ah tiens, la plume verte. Et c’est du… 4 h 00. Bon ça fera. Parti lentement, il a bien vite rejoint les plumes vertes, et gravité à quelques décamètres devant. À son propre train, fluctuant selon la forme du moment. Puis s’est fait rejoindre par les plumes vertes et une dizaine d’athlètes ventouses. Tranquille : poursuivre son régime de croisière. Enfin, km 23 ou 24, il découvre un endroit propice à une escale technique pour un délestage solide (qu’en termes élégants ces choses-là sont dites !). Peut-être une minute et demie de pause, et les plumes sont déjà à 300 mètres ou plus…

À l’abordage !

Mais pas décidé à se faire plumer le vieux (M3 bien mûr) Suc : « Montre-leur qui tu es ! ».Comme un hymne guerrier qui revient à fréquence régulière dans sa tête. Ne pas s’emballer (ça se paye). Mais grignoter (ça, ça paye). S’appliquer avec le regard fixé sur la meilleure trajectoire pour esquiver les ronds-points de cette interminable route de Paris : celle-ci étend sa morne rectitude bordée d’entrepôts commerciaux aux logos agressifs – signe d’une société ultra-consumériste – jusqu’au centre ville. De temps en temps, lever la tête. « Ouais, c’est pas gagné » ou « Ah ! Y a de l’espoir ». Après le magnifique ensemble de la place Nationale (aïe, ces pavés, ou plutôt ces galets, dressés pour s’enfoncer dans mes trop larges panards coincés dans des baskets pour pieds d’intellos), c’est la descente vers un large boulevard pris en aller-retour avant de s’infiltrer dans les rues commerçantes.  C’est jouable… C’est fait vers le 30ème. Bon, ne pas rester coincé dans ce petit peloton car ensuite, vers le Tarn, il y a des passages serrés (à deux de front), du gravillon et quelques moutonnements de terrain. Allons, restons calme, pas d’euphorie : la fin n’est pas si simple. Quand même, juste devant , cette dizaine de coureurs,euses, égrenés sur 200 mètres, ça fait envie… « Allez, mes chers et chères, j’arrive : vous êtes morts ! » Il y aura du vrai dans cet objectif. Mais aussi du faux. Et les plumitifs reviennent. Bon, là ce sera la roue de secours à partir du km 37 : fixer le mollet d’un (ou une de préférence) et ne plus le lâcher. Mordre oui… mais dans le gravier de ces longues promenades vertes, puis dans les virages proches des ponts.

Ultimes cartouches

Et celui-là avec son maillot blanc, il ne serait pas M3 ? Faut que je le laisse dans ses plumes : démarrage discret au km 41. Mais à la faveur d’un passage de part et d’autre de barrières, je vois un autre individu : maillot bleu, cheveux blancs, visage buriné et mollet flasque. Un potentiel M3 ? Cent mètres devant, c’est beaucoup, non ? Et si c’était celui-là qui m’empêchait de faire un podium ? Qu’est-ce que je risque ?

Allez, à l’abordage ! Arrivée à 700 mètres et encore 60 environ à combler. Allez, 40 mètres maintenant avant qu’il ne disparaisse dans le virage conduisant au sas d’arrivée, à 400 mètres de la ligne. Fonce, et tant pis s’il contre. Ah ! Tout est fini : une demi-douzaine de maillots bleus l’attendaient pour l’accompagner sous la banderole. Et voilà que le maillot blanc a quitté ses plumes, et se la radine. Oups, mais il accélère. Parce que tu crois que je vais me laisser faire ? Si tu tournes la tête, tu le verras mon dossard : 36. Comme le Quai des orfèvres. Mais mon poulet, dépêche-toi : parce que, hop, là, c’est trop tard… Et vingt mètres plus loin… « Quoi, il revient ? » Moi aussi, j’en remets une couche. Et la force restera avec moi. Pour la conquête de l’inutile : après la ligne, il me confesse qu’il n’est « que » M2. Quant au maillot bleu, lui oui, il était M3. Il me gagne de 16 secondes, et me relègue ainsi dans la deuxième moitié du peloton des M3, à une modeste onzième place. Toutes ces remarques quelque peu martiales ne sont évidemment pas sorties de ma tête. Et le commentateur (Philippe Aubert) a pu dire un mot sur la course de Murat. Sera-t-il entendu par les 2600 finishers des 10 km et semi ?

Une organisation top

Même si ma belle-soeur Jacquie – cette… ménagère de 75 ans qu’elle me fait dire ! – n’a pas daigné sortir sur le seuil de son pavillon de banlieue, qu’est-ce qu’on s’amuse à Montauban : public, orchestre, bénévoles, dotation, aire de départ (parc) avec son marché… tout et tous sont grandioses. Il mérite bien mieux que ces 300 marathoniens solo. Sans doute, les vrais athlètes de Lacaune, ceux qui pourront aggriper la qualif’ pour les France de cross, vont se régaler ici-même, dans un peu moins d’un an.

Marathon

1er Cyril Poussou (Arpajon) en 2h32’52 »

165. André Suc en 3h59’14 » (11 M3 sur 19)

275 arrivants.

 

Trophée de l’Avenir à Lacaune

La 4ème journée du Trophée de l’Avenir se déroulait à Lacaune le samedi 23 mars. Au menu de l’après-midi, un triathlon: Le 30m haies, le pentabond et le lancer de poids. Belle tenue de nos Lacaunais à l’image  de Lucas Combet-Curt qui réalise un total de 15 points. Viennent ensuite avec 14 points: Hamza  El Massoudi, 12 points pour Lohanne Théron et Yanis Cherry. Georges Bertrand, 11 points, Hugo Boudou et Clément Rascol, 10 points, Noé Théron, 9 points, Candice Sibourd et Mathéo Pébarte 8 points. Excellentes performances pour Hamza au 30m haies  avec un chrono de 7″5 et les 6,70m de Lucas au lancer de poids. Félicitations à tous. Prochaine sortie, samedi 30 mars à Carmaux, pour la 1ère compétition estivale réservée aux benjamins, minimes.

Cross des petits

Vif succès de ce cross départemental qui se déroulait le samedi 16 mars à Lisle sur Tarn. Plus de 350 enfants des catégories  » Eveil athlétique  » et poussins de tout le département, étaient venus en découdre sur un parcours rapide. Un temps printanier et un terrain idéal, ont permis  à nos Lacaunais de réaliser quelques bonnes performances. Dans la 1ère course réservée aux  » Eveil athlétique filles « 38ème place de Lohanne Théron. La bonne surprise viendra dans la 2ème course des « Eveil athlétique garçons  » à l’actif d’ Hamza El Masoudi parti dans le milieu du peloton, il parviendra au fil de la course à remonter son handicap pour finir à la 6ème place, à une poignée de secondes des premiers. Il sera suivi de Georges Bertrand: 35ème, Hugo Boudou: 49ème, Lucas-Combet-Curt: 80ème et Noé Théron 83ème. Dans la course des poussines, performances honorables de Peppa Victoor 50ème, Jade Boudou 53ème et Sarah Damiens 85ème. Chez les garçons, Nathan Cazabonne après une chute dès le départ, n’arrivera pas à réintégrer la tête de la course et finira à la 52ème place. Aimé Alliès terminera à la 89ème place. Félicitations à tous ces petits Lacaunais qui ont réussi à terminer leur épreuve avec une mention particulière à Hamza qui a prouvé que l’on pouvait dorénavant compter sur lui dans les courses de demi-fond. Rendez-vous, samedi 23 mars dans la salle de la Balme, pour la 4ème journée du Trophée de l’Avenir.

Ultra du bout du cirque

Ultra du bout du cirque 100km 4200d+

Vendredi matin , je prend le départ , avec ma fidèle assistante , pour Le Vigan . Nous prenons possession de notre gîte et après une petite sieste direction le retrait des dossards . A noter , un joli sweat offert par l’organisation. Ça change des tours de cou et surtout enfin une dotation utile. Retour au gîte, j’avale un plat de pâtes et 20h au lit . Et oui ,demain ça va piquer avec un réveil à 2h30 . Après une courte nuit , c’est déjà l’heure du réveil  . Un bon petit dej et go pour le départ. Après une préparation de 1 mois et demi, je ne sais pas du tout ce que ça va donner et si la cheville va tenir sur la distance. 4h top départ donnait par notre Salvetois  Stéphane Tailhades.  Les premiers kilomètres sont vraiment très durs pour moi . J’ai les mollets qui chauffent dés la première ascension et je me dis que la journée va être longue si tout ne rentre pas dans l’ordre . Premier ravito au km 17 , mon assistante n’est pas là. Je l’appelle pour savoir où elle se trouve « j’arrive  » « Je suis sur la route « . « Bon ,tu peux faire demi-tour  » on se verra au prochain « . Je repars et les jambes commencent à revenir petit à petit . Le lever du jour me redonne des forces et le plaisir avec . J’avance tranquillement au milieu de magnifiques paysages. Deuxième ravito km 37 , l’assistante n’est toujours pas là. Je mange un peu et j’attends quelques minutes.Toujours personne . « T’es où ? »  « Quoi ?tu es déjà arrivé ? » . Je rale un peu évidemment « Sois là au prochain au moins « . Malgré un beau soleil, il fait quand même très frais sur les plateaux. Le vent est bien présent et il me tarde vraiment de mettre des vêtements secs . On alterne monotraces et pistes puis une longue descente jusqu’au troisième ravito km 51 . Miracle, elle est là . Je peux me changer et manger les petits plats qu’elle m’a préparé. Il faut bien ça pour une ascension annoncée comme terrible. Finalement, elle se passera plutôt bien .Puis, vient une partie roulante sur le plateau . Au passage un autre ravito de manqué par mon assistante. Enfin , on peut apercevoir le magnifique cirque de Navacelles . Une superbe descente qui nous emmène au coeur du cirque. La remontée sera beaucoup moins agréable  , ça commence à tirer . Je suis beaucoup moins lucide et je me perds 2 fois malgré un très bon balisage. J’arrive au ravito km 78 avec les cuisses déchiquetées.  Cette fois Sandrine  est là, 2 ravitos sur 5 c’est un bon ratio . Bref , les 22 derniers kilomètres vont être interminables et douloureux. Plus rien ne répond, le manque d’entraînement se fait sentir. J’arrive finalement en 17h52 et en 115 ème position sur 200 partants . Finalement, ce n’est  pas trop mal pour une reprise . J’ai bien mérité ma soupe aux choux. En conclusion, c’est une très belle course avec une superbe organisation et une ambiance très familiale. Encore merci à Sandrine, pas facile l’assistance !😁 Fier d’avoir représenter le club .

Finale de cross à Vittel

2 Lacaunais avaient fait le déplacement à Vittel, dimanche 10 mars, à l’occasion de la finale du championnat de France de cross. Des conditions difficiles pour cette édition, vent, froid et pluie, ce qui n’a pas empéché Maxime Fabre de réaliser une belle course. Il terminera à la 115ème place sur un effectif de 392 coureurs classés. Petite déception, en revanche, pour Guilhem Rouquette, peu à l’aise sur terrain boueux, il finira à la 310ème place. Félicitations à nos 2 jeunes qui ont reprèsenté l’athlétic club lacaunais sur le plan national. Rendez-vous est pris pour la saison prochaine à Montauban où se déroulera  l’édition 2020 de la finale du championnat de France de cross

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