Mazamet. Championne du monde !

Quelle fierté ! Championne… Oui, mais pas de Midi-Pyrénées, ni de France, ni d’Europe. Du monde ! Ici, c’est peut-être le bled, mais l’école de Saint-Jean-de-Jeannes est presque neuve. Et pas loin de ce trou, le maître des années 1960 nous l’a enseigné, la championne du monde du délainage, c’est Mazamet.

Voilà qui nous amène (doucement) à la Mérinos. Vous savez : ce mouton à la laine si fine. Ou plus exactement à la course organisée à Mazamet. Et aux cinq athlètes de Lacaune (sans compter Jérémy Cazals qui était inscrit, mais dont on a perdu le sillage). Lacaune, vous savez cette race de brebis championne du monde, elle aussi. Mais pas avec sa laine, avec son lait. Pensez : jusqu’à 400 litres de lactation par campagne et par unité. À savoir si cette course au rendement ne fragilise pas de trop l’espèce, avec l’obligation d’avoir recours plus que de raison à des traitements phytosanitaires.

En parlant de course, il y en avait une, vendredi 14 juin, à Mazamet. « C’est un 10 km, informe Christophe Tichit (qui commence à avoir de la bouteille). Un moment, on longe la voie ferrée, et c’est moins roulant qu’à Castres. Faut s’attendre à deux minutes de plus. » Ceux qui font la course au rendement (sans traitement phytosanitaire), ce sont les Fabre père et fils. Et ils arrivent à de bons résultats : en ce millésime 2019, on ne compte plus leurs podiums, l’un en espoir, l’autre en M3. Pourtant Marc marque son désespoir : « Je ne comprends pas : je cours plus vite que l’an passé… Total : je me retrouve plus mal classé ! » Autres habitués des courses : les Suc. Cette fois, c’est Jean-Philippe, de retour dans le circuit, qui affiche sa suprématie. Il est vrai qu’il a un profil d’athlète, avec le talent qui va avec. Même si, à l’Audimat, relayé par les stentors de service Francis Thomas et Patrick Fonvieille, c’est son aîné André qui remporte la palme. En parlant de lot, Hugo est admiratif en furetant dans le sac que lui vaut sa place de premier espoir : « Chapeau ! Ici, ils ne lésinent pas sur les cadeaux! »

Bref, tout va bien pour nos sympathiques (ça ne coûte rien) et valeureux (tant qu’on y est) athlètes. Rendez-vous le dimanche 23 au meeting intercommunal de l’ACL. Et même avant pour Christophe Tichit : arbitre de rugby dès le lendemain, avant la participation à Lescure à l’Alaux trail. Vous avez dit Alaux ? Allô ! Allô ! Y a quelqu’un ? Non, il n’y a plus personne. Avec mon baratin d’enfer, j’ai semé tout le monde en cours de route. Enfin !

La Mérinos (10 km)

  1. Habib Bennama (M2) en 34’55 12. J-Philippe Suc (2M2) en 38’34. 18. Hugo Fabre (1ESP) en 39’36. 26 Christophe Tichit en 41’09. 78.Marc Fabre (3M3) en 47’05 126. André Suc en 53’40 (175 arrivants)

Trail de la factrice et Despérado trail

Un week-end chargé

Samedi 8 juin :

Ce jour-là ne devait pas être un jour de course. Ceci étant, notre cher président Ricou en a décidé autrement ! Deux inscriptions gratuites pour le trail de la factrice cela ne se refuse pas !

Marco est tenté, après tout, pourquoi pas ? Il fait beau, pas de course prévue, toujours les baskets et un short dans la voiture… Ni une ni deux, un coup de téléphone à moi-même pour me prévenir aux alentours des 11h. Etant inscrit aux 12 km du Desperado Trail, petite hésitation mais bon, il a l’air sympa ce trail à Roquebrun ! Il compte en plus pour le challenge du HL.

RDV à St Pons à 14h pour se rejoindre et partir ensemble. Sur cette dernière demi-heure de route, surprise ! Deux inscriptions gratuites oui, mais pour la Saute Mouflon ! Aïe, 70 km ça fait beaucoup quand même… D’autant plus que le départ a déjà eu lieu. Tant pis ! On négociera un échange sur place…

Dirigés au pôle informations, aucun problème pour nous trouver deux dossards. Ouf ! Maintenant on se prépare comme pour un trek et c’est parti. Père et fils Meiler sont également de la partie, ça fait plaisir ! Peut-être que l’on fera un bout de chemin ensemble…

Camel back rempli, barres, casquette, portable… Ready ? Oh que oui ! Pointage pour vérifier le matériel… aie… Une frontale ? Vraiment utile ? Départ à 17H45… Il ne faudra pas traîner… Antoine Guillon me demande si je prévois de rentrer avant 22h… « Oui largement ! ». Pourtant c’était notre premier trail de plus de 18km (lol).

Et c’est partiiii ! Un premier kilomètre où il ne faut surtout pas partir trop vite mais trouver un petit rythme pour s’habituer à la chaleur. D’autant plus que ça monte !

5ème kilomètre : je rattrape Edouard dans la première petite descente, super ! Il monte bien dans les côtes, ça va m’aider. Je me sens bien donc je décide de partir toujours dans cette descente… Bon, il me rattrapera vite !

Une montée longue et progressive s’en suit, faite avec Jean-Philippe SUC.

12,5ème kilomètre : Premier ravitaillement, comme prévu on s’arrête ! Verre d’eau cul sec, un tuc et hop, une minute après je repars avec un petit groupe. Je profite d’un long faux plat-descendant pour quitter ce groupe.

17,5ème kilomètre : Dernier ravitaillement, un abricot et ça repart, le plus dur est fait… Je me sens toujours bien, tant mieux ! Je continue ma route avec le 1er V3, il marche jamais le bestiau ! Dernières petites bosses… Je rattrape Meiler fils, allez, on s’accroche ! On arrive à lâcher notre ami V3. Dernière descente en lacet : on peut enfin apercevoir la terre promise en contrebas. Allez courage ! Je finis ces derniers kilomètres tout seul (sauf en doublant ceux du long parcours partis plus tôt). Il n’en fallait pas plus ! Début de crampes… Une superbe holà des gens en terrasse, au top !

Un trail très beau et bien géré par tous nos lacaunais.

Résultats : 26 km 1050 md+ / 279 finishers

13ème : Hugo FABRE en 2H38

22ème : Jean-Philippe SUC en 2H48

57ème : Jérôme GASPAROUX en 3H11

77ème : Marc FABRE en 3H19

Dimanche 9 juin :

Cette fois, c’est (presque) en solo que je pars sur un trail… Je passe prendre trois personnes aux Salvages et hop, direction Revel ! Heureusement je m’étais inscrit sur le 12 km et pas le 27 km… On arrive juste sur la ligne de départ et c’est parti à 9h30 ! Une moitié du lac de St Ferréol est faite (assez atypique) et on commence une petite ascension. Je cale direct et perd un peu de temps mais je me remets vite en jambes. Un mur de 300m et il ne reste que de la descente ! Un finish sur un bon kilomètre plat (la deuxième moitié du lac) pour finir notre tour.

Petite originalité : pas de verre à l’arrivée ! Heureusement il y a des pastèques pour boire !

Maintenant place à la récup’ et rendez-vous à Mazamet vendredi !

Résultats : 11 km 310 md+ / 333 finishers

21ème : Hugo FABRE (1er ES/3)

Hugo

Spéciale Bout du pont

Compte-rendu Spéciale gorges du Tarn…

Nous voici en ce dimanche 02 Juin dans la banlieue mazamétaine, pour un périple de 15 km avec comme fil conducteur les Gorges de l’ ARN…

Trois représentants ACL originaires de la vallée du GIJOU…Jean-Philippe SUC de Vabre et Fabre père et fils de Viane…

Le week-end a commencé (pour ces derniers) par une activité festive familliale (mariage) qui nous a conduit sur les bords du RANCE (Combret) 

avec retour tôt le dimanche matin sur les rives de l’ AGOUT dans la sous-préfecture du TARN encore endormie…Aprés trois heures de position 

horizontale; debout pour rejoindre l’ affluent du THORE…au Bout du Pont…

Participation en hausse par rapport aux éditions précédentes, le pont…de l’ascension y est certainement pour quelque chose. (105 participants).

Coté résultat: le « pompon » pour JP Suc dans la catégorie V2, qui prend l’ascendant au fil des courses. (Certains vont l’avoir en travers …de la 

gorge…tant sa domination est importante). En ce qui concerne Hugo et moi-même, pas de véritable « tampon » mais résultats pas trés bon…

Hugo 2ESM (qui aujourd’hui avait prévu de faire de l’ accompagnement)  – Marc 3V3M…

RESULTATS

1   ALAYRAC Jérome    1H06’05 »   1SEM

8   SUC Jean-Philippe   1H12’57 »   1M2H

31 FABRE Hugo           1H23’46 »   2ESH

42 FABRE Marc            1H27’31 »   3V3H

A+ Marc

Meeting de Pézénas

Déplacement de notre champion Maxime Fabre au meeting de Pézénas, samedi 1er juin. Sur sa distance de prédilection, le 1500 m, il améliore une fois de plus son record personnel de près de 2 secondes avec un temps de 4′ 13″ 74. Lors des prochaines sorties des 8 et 22 juin pour les championnats d’Occitanie, gageons  que Maxime pourrait s’approcher des 4’10 » et pourquoi pas inscrire son nom sur les tablettes du record du club du 1500 m. Le lendemain dimanche, sortie d’Emilien Vergely pour les championnats départementaux des catégories, benjamins, minimes. 2 épreuves pour Emilien: 16″ 76 au 100 m et 16,12 m au lancer de javelot. Un grand bravo à nos 2 représentants.

La Gazbartas

Pour la deuxième édition de la Gaz’bartas du
Larzac, c ‘est une équipe 100% féminine, motivée malgré la météo plus qu’automnale, qui s’est retrouvée chez Ricou pour covoiturer !
On papote, on papote, et nous voilà parties avec nos gentils chauffeurs. .. (qui n’ont
aucune idée de l’endroit où nous allons )…
Le GPS fait des siennes, le petit Axel s’allège de son petit déjeuner, bref on a bien failli être en retard. ..
(Petit message pour Ricou, pour un covoiturage de filles, prévoir un
horaire large 😀😀)
Finalement on arrive pile poil pour récupérer les dossards et encourager les Tichit et Tatiana sur la ligne de départ du 20 kms qui fera au final presque 23!!!
Sur place, sont déjà là la famille
Alinat Blayac avec enfants , grands parents et un rayon de soleil.
Allez, c’est parti pour 10 kms entre cailloux et buissieres, au pied du Potensac, sur ce beau plateau du Larzac.
Le, ambiance est sympa,
l’organisation au top, des encouragements, de la musique, bref: on se régale ! !!
Dernière montée avant de rejoindre l’arrivée où nous attendent tous nos supporters petits et grands, et le petit cadeau de l’organisation.

À notre tour de féliciter tous les petits qui portent autour du cou leur médaille parce qu’ils ont couru eux aussi ! !!!
Malgré une gamelle pour Marie Anne, tout s’est bien passé pour tout le monde et c’est l’heure de la
petite bière

😊

Remise des récompenses, Christine est appelée sur le podium à sa grande surprise. Ni une ni deux, elle lâche tout et file rejoindre les héros du jour.
Elle en sera quitte pour payer une autre bière !
/>Reste plus qu’à se restaurer auprès du petit marché aux produits du terroir ou aligot et roquefort sont à l’honneur, Aveyron oblige ! !
Retour dans nos montagnes et merci aux « Gazelles » pour cette course sympathique
qui plus est « eco-responsable « 

23 Christophe 7M1-02:14: 21
64 Tatiana 4Sen2 – 02:36:58
92 Domy 9M1 – 02:50:00

39 Christine 2M1 -01:03:31
42 Véro B 2M2 – 01:03:34
43 Sonia
3M1 – 01:03:38
50 Marie Anne 7Sen – 01:04:45
63 Aurore 10Sen – 01:08:09
64 Véro C 10M1 – 01:08:21
76 Véro M 16M1 – 01:12:29

Véro Bardy

Un échec : oui. Un regret : non

Les 24 heures sont sorties du domaine confidentiel, dans laquelle je les avais laissées il y a un quart de siècle. C’est devenu une épreuve certes particulière mais qui a un public plus dense que sa trop modeste communication ne le laisserait penser.

C’était donc le jeudi de l’Ascension vers 9 h 30, où je descends dans la parc de la Guierle, à Brive. D’autant plus gaillard que j’avais reconnu la veille le secteur stratégique, le parcours, et posé quelques questions adaptées pour essayer de masquer ma lointaine double expérience sur la distance. Dossard numéro 100 (attribué par alphabet masculin, là au moins, avec le S, puis le U, je suis certain de n’être jamais numéro 1…). La table 100 devrait être entre le 99 et le 101 ? Oui mais non, car l’organisation vraiment haut de gamme, a fait en sorte de privilégier la convivialité. Si par exemple, était inscrit un Lacaunais nommé Dupont (ou pourquoi pas Cambon ?), il aurait eu un dossard autour du n°30, et le staff Dupont (ou Cambon) aurait été éloigné géographiquement du staff Suc (modeste en l’occurence, mais Gisèle a suivi hors vie et nuit ordinaire), et donc adieu l’esprit d’équipe… Vous me suivez ? Alors j’arrive dans cet espace avec toiture, et je pose mes deux bouteilles d’eau, ma dizaine de barres, et mon carton de prévision sur la table 100.

« Hou, mais je suis un amateur », lancé-je aux deux staffs des tables voisines après avoir parcouru ce hall, où la plupart des concurrents avaient à dispo, des dizaines de boîtes alimentaires, des tableaux préétablis, une infrastructure, pliant, tente, glacière, etc. « Mais… nous aussi », répondent-ils en choeur. Voilà qui augure bien d’une future sympathie. Juste, je voudrais signaler que pour confirmer la théorie sur le hasard que j’ai développé avant, le voisin savoyard Stéphane Richard (215 km l’an dernier) avait toutes les chances pour réussir « Brive », et au bout de trois heures, il était déjà à la ramasse (il me semble que je suis devant au classement final), ne restant sur site que pour « écouter » sa femme (et moi un peu). Tout s’est déroulé convenablement selon mes prévisions horaires (arrondies au kilomètre), en léger dégradé, partant dans un créneau 8 – 9 km à la première heure, avec une septième heure entre 63 et 71 km, une 12ème entre 93 et 105, une 16ème entre 120 et 136, une 20ème entre 147 et 167, et un final entre 171 et 195 km. A posteriori, je ne suis pas mécontent de ce découpage (je le garde).

Tout s’est bien déroulé, soleil modeste de 10 heures à 20 heures où j’avais parcouru 83,5 km. Pas trop mal jusqu’à deux heures du matin, où en marchant un peu j’étais encore resté dans les clous inférieurs : 121 km à l’heure 16, tout en perdant une place (redevenu n°7 au classement M3, mais en considérant sur site un peu plus tôt qu’un « cador » M3 n’était plus sur le circuit). Et puis, vers 2 heures et demie – c’est terrible ! -, je n’ai plus eu envie. « Mais il n’y avait pas de lit de camp prévu ? » -Si, si, c’est là-bas, près du speaker. Stéphane doit y être », me renseigne la voisine. Pendant une heure : allongement, petite sieste malgré les micros, puis quelques autres tours, manière de tuer le temps et de ne pas se laisser gagner par le froid. Pas d’amertume pour autant. Peut-être en raison de la sympathie que l’on ressent auprès des stands. Puis re-lit de camp. Puis re-tours en marchant. Enfin tout un cérémonial, championnat de France oblige pour préciser à 24 heures pétantes où l’on se trouve sur le parcours. Et autant de clinquant (que j’apprécie en fin de compte) lors du protocole avec Marseillaise incorporée.

Le bilan chiffré n’est pas exceptionnel, j’en conviens. Mais… outre que quatre jours après, j’ai gommé le plus dur (pour la vie courante), j’ai presque déjà envie d’y revenir (qu’est-ce que c’est bête, un athlète ! ). En tout cas, je vais marquer tout sur la prépa, y compris ce qui a été positif (entraînement pour six mois à raison d’un jour sur deux insuffisant certes, mais non-bourratif, sur des plages de trois heures en moyenne, marathon à M – 2, semi à M – 1, mais pas d’autres courses ; arrêt à J – 10). Et tout sur ces 144 km. « André, est-ce votre dernier mot ? – Oui, c’est mon der… Non, je veux dire… « à bientôt ».

Plus fort ! plus haut ! plus loin ! plus vieux !

24 heures de Brive : des illusions et… désillusion

Commençons par les …conclusions.

  1. Un entraînement de 10 heures par semaine semble approprié pour un 100 km, mais pas pour un 24 heures. Le plus réaliste paraît être un entraînement de 18 heures hebdo, ce qui veut dire un engagement sur six jours sur sept.
  2. Dans les catégories vétérans, sur les longues distances, l’on peut estimer rester dans le même créneau sur la plage M1. En revanche, un athlète de 59 ans aura moins de valeurs qu’à 50. Et pour les M3, M4, cet écart se creuse encore davantage. Conclusion : dans une logique de performance, privilégier l’année d’entrée dans la catégorie.
  3. Objectifs : il faut savoir en établir de cohérents ; ici c’était le cas.Mais aussi, il faut savoir se préparer à en sortir (par le bas en général…) en gardant dans la tête un sous-objectif, ou une autre motivation (public, déplacement, hargnes diverses…).
  4. Ne pas être sur la brèche à chaque tour (soit un peu moins d’1,2 km) : bien sûr, c’est tentant de connaître en direct son temps au tour, sa place au scratch, en catégorie, etc. Mais si à tous les passages, l’on s’évertue à emmagasiner tout cela (qui sont déjà, quelques jours après devenus des détails, l’influx nerveux en prend un sacré coup.
  5. Même en étant solitaire, la réussite peut être au bout. Cependant, que ce soit en cercle familial ou, plus généralement, de club, les conseils, mais surtout l’entente et la détente procurés par le staff technique est un bonus pour tous, y compris pour l’organisateur. Sans doute des moments de partage en amont aussi qui illustrent la pratique du « vivre ensemble ».
  6. Considérer au préalable la période, surtout pour un objectif chiffré en kilomètres. Il est peu vraisemblable que la canicule soit accablante en novembre dans notre pays. C’est moins sûr fin mai, époque où les premières chaleurs peuvent d’autant plus désarçonner les bipèdes des hauts plateaux.
  7. Éviter les grandes distances (au-dessus du marathon) au moins dans les trois mois précédents.
  8. L’on aura beau dire beau faire, à conditions égales, le hasard s’amplifie au-dessus des distances de 50 kilomètres. À mon sens, sur 24 heures, au moins 10 % des participants « initiés » à ces épreuves, ont un résultat, soit exceptionnel soit très médiocre, qui n’est pas rationnel par rapport à leur valeur du moment.
  9. Il y a des concurrents exceptionnels, et à tous âges : sur le championnat, trois des 14 sexagénaires ont réussi + de 200 km. Et il y avait tout de même 29 M3 hommes sur 203 athlètes à faire les hamsters à Brive. C’est dire si la concurrence est devenue vive chez les vieux.
  10. (C’est pas toujours gai d’être vieux avec le changement de style de nos brillants webmasters : je n’arrive plus à supprimer ces chiffres… alors je reviens avec un article nouveau. Des fois, je regrette les plumes sergent-major…)
  11. Un échec : oui. Un regret : non.

Trail de Gruissan

Trail de la saline a gruissan 25 mai 2019 superbe et jolie trail entre mer et la saline et un  peut de forêt un superbe soleil mais  dommage beaucoup de vent  c etait un trail très roulant et plat . Courir sur la route un peu de sable et  du chemin le départ était à 17h a la saline de gruissan  comme cadeau avec le dossard un pot de fleur de sel de gruissan  je termine  le trail en 56min58s a la 171/312 participants. Prochain objectif  le trail a nasbinals  le 23 juin avec un 30km 1 fois sur cette distance  on verra bien 

JEREMY


Trail de Payrin

Trail de Payrin

Nous voilà partit en ce samedi 18 mai direction la montagne Noire. 3 parcours sont proposés (6, 13 et 24 km). Mais nos 6 lacaunais présents ne sont pas venus pour 30 minutes de course ! Guillaume, Jean-Philippe, Ricou, Marc et moi-même partons pour le 13 km et Mathilde s’alignera sur le long.

Une belle balade en zig-zag dans le Causse sur un parcours bosselé (pas trop exigeant) mais où certains du 24 km se rajouterons quelques mètres (ou kilomètres pour ceux qui ont les jambes).

Un ravitaillement à Caucalières pour ceux qui souhaitent s’arrêter et c’est repartit sachant que le plus dur est fait. Un finish dans un champ où les herbes coupées nous tracent le chemin.

S’en suit la remise des prix, le repas et la soirée avec Dj.

La décapsulé – 13 km – 170 finishers

5ème : Guillaume YEDDOU

9ème : Jean-Philippe SUC

22ème : Hugo FABRE

24ème : Eric CAMBON

52ème : Marc FABRE

La White Cliff – 24 km – 83 finishers

53ème : Mathilde REQUIS

Hugo

Challenge départemetal poussin

 Dernière journée du challenge départemental des catégories poussines, poussins, samedi 25 mai à Graulhet. 5 épreuves au menu de l’après-midi: le 50 m, le 1000 m, le saut en longueur, le lancer de disque et de javelot. Peppa Victoor termine 1ère Lacaunaise avec un total de 75 points sur l’ensemble des 5 épreuves. On notera pour l’occasion le chrono de 4′ 13″ 2 sur le 1000 m de Peppa qui améliore le record du club de 5″. Belle perfomance, également de Nathan Cazabonne sur le 1000 m avec un temps de 4′ 06″ 8 et un total de 61 points. Viennent ensuite, Jade Boudou: 48 points, Sarah Damiens: 36 points et Aimé Alliès: 26 points. La proclamation des résultats de ce challenge aura lieu le samedi 22 juin lors des interclubs départementaux à Graulhet. Un grand bravo à tous.

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